La Russie et l'Afrique peuvent booster les compétences du continent, selon un passionné de high-tech

© SputnikSarfo Kusi, the team leader of the Ghanaian contingent at the High-Tech Championship in Veliky Novgorod.
Sarfo Kusi, the team leader of the Ghanaian contingent at the High-Tech Championship in Veliky Novgorod. - Sputnik Afrique, 1920, 24.09.2024
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L’Afrique a une population jeune mais largement sous-qualifiée, et Moscou peut cibler les ressources humaines à travers des concours, des hackathons et des laboratoires technologiques, a expliqué à Sputnik Afrique Sarfo Kusi.
Le jeune homme a mené la délégation du Ghana au Championnat de hautes technologies qui s'est tenu à Veliki Novgorod, ville du nord-ouest de la Russie. Cette deuxième édition a réuni 137 compétiteurs et 166 experts. Ils ont participé à 12 épreuves et la finale a vu concourir les représentants de 16 pays.
Pour Sarfo Kusi, cette compétition a permis d'apprendre en découvrant les technologies russes, pour ensuite appliquer ses nouvelles connaissances chez lui.
Il avoue que grâce au championnat, il a accédé aux licences de logiciels et aux manuels normalement réservés aux grandes entreprises.
En se projetant vers l’avenir, Sarfo Kusi met en avant l’agriculture en tant que secteur mûr pour intégrer les technologies. Selon lui, avec des drones agricoles et des tracteurs reliés par satellite, l’Afrique peut beaucoup progresser en matière de sécurité alimentaire.
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