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L'absence des judokas russes aux JO de Paris est une "perte", a fait valoir le président de la FIJ
L'absence des judokas russes aux JO de Paris est une "perte", a fait valoir le président de la FIJ
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"Je regrette que nous n’ayons pas une participation complète. Lorsqu’une nation qualifiée manque, c’est toujours une perte pour les Jeux Olympiques", a déploré... 25.07.2024, Sputnik Afrique
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17 athlètes russes ont été autorisés par la Fédération internationale de judo (FIJ) à participer aux Jeux. Pourtant, le Comité International Olympique (CIO) n'en a retenu que quatre, disant que les autres ont été "compromis par une campagne de promotion de la guerre". Finalement, les athlètes russes ont décidé de ne pas y aller par solidarité avec leur collègues. "Aucun boycott ne devrait exister dans le monde du sport. Le sport doit unir les gens et les aider à s’améliorer, à mieux se comprendre", a-t-il ajouté.
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L'absence des judokas russes aux JO de Paris est une "perte", a fait valoir le président de la FIJ
"Je regrette que nous n’ayons pas une participation complète. Lorsqu’une nation qualifiée manque, c’est toujours une perte pour les Jeux Olympiques", a déploré Marius Vizer dans une interview à AFP.
17 athlètes russes ont été autorisés par la Fédération internationale de judo (FIJ) à participer aux Jeux. Pourtant, le Comité International Olympique (CIO) n'en a retenu que quatre, disant que les autres ont été "compromis par une campagne de promotion de la guerre". Finalement, les athlètes russes ont décidé de ne pas y aller par solidarité avec leur collègues.
"C’est un grand pays de judo. Nous sommes un sport qui n’a pas sanctionné les athlètes russes. On ne peut pas sanctionner une nation entière pour la situation tragique et les conséquences de ce conflit [ukrainien]", a dit M.Vizer qui a par ailleurs refusé de commenter la décision du CIO.
"Aucun boycott ne devrait exister dans le monde du sport. Le sport doit unir les gens et les aider à s’améliorer, à mieux se comprendre", a-t-il ajouté.
