"Je ne supporte pas qu’on me mente": c’est ainsi que Julian Assange avait expliqué sa motivation

© Sputnik . Ramil SitdikovMargarita Simonian, rédactrice en chef de l’agence Rossiya Segodnya dont fait partie Sputnik
Margarita Simonian, rédactrice en chef de l’agence Rossiya Segodnya dont fait partie Sputnik - Sputnik Afrique, 1920, 25.06.2024
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La rédactrice en chef de l’agence Rossiya Segodnya Margarita Simonian dont fait partie Sputnik se souvient de cette réponse quand elle a demandé au militant ce qui le poussait à mener ses activités et à risquer sa réputation et sa vie.
"Aujourd’hui, il est libre pour la première fois depuis de nombreuses années. Il est presque libre. Malgré le prix terrible que cela lui a coûté, je suis terriblement heureuse. Le meilleur journaliste d’aujourd’hui vivra", écrit-elle, réagissant à la libération du fondateur de Wikileaks.
C'est Wikileaks qui a annoncé la libération du journaliste. Les médias ont rapporté qu’il s’apprêtait à conclure un accord avec le bureau du procureur américain. Selon des documents judiciaires, Assange admet une seule accusation: avoir participé au complot pour obtenir et divulguer des informations sur la défense nationale.
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