Écarté des législatives, l’ancien Président sud-africain promet de "se battre"

© AFP 2024 PHILL MAGAKOEFormer South African President and leader of the newly formed uMkhonto weSizwe (MK) Party, Jacob Zuma, addresses supporters during the People’s Mandate Launch at Orlando Stadium in Soweto on May 18, 2024.
Former South African President and leader of the newly formed uMkhonto weSizwe (MK) Party, Jacob Zuma, addresses supporters during the People’s Mandate Launch at Orlando Stadium in Soweto on May 18, 2024. - Sputnik Afrique, 1920, 24.05.2024
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Écarté des élections législatives du 29 mai, Jacob Zuma a promis de défendre ses droits. Il a fait savoir qu'il continuerait à faire campagne.
"Les juges de la Cour constitutionnelle ont décidé que je ne pouvais pas exercer mes droits et libertés", a déclaré Jacob Zuma dans une vidéo publiée par son parti Umkhonto we Sizwe, en promettant de défendre ses droits "jusqu’à ce que ce pays reconnaisse que la liberté doit être totale et pour tout le monde, et pas seulement pour quelques-uns".
Jacob Zuma utiliserait tous les moyens possibles, y compris faire appel à l'Onu, pour faire annuler la décision de son inéligibilité, selon le porte-parole du parti Umkhonto we Sizwe.
Néanmoins, Umkhonto we Sizwe obéit jusqu’à présent à la décision de la justice et a retiré Jacob Zuma de la liste du parti pour les élections législatives, où il occupait la première position.
La Cour constitutionnelle a décidé le 20 mai de ne pas autoriser Jacob Zuma à participer aux prochaines élections législatives, programmées pour le 29 mai. En cause, la condamnation en 2021 à 15 mois de prison pour outrage à magistrat.
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