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Le Burundi "aura une capacité énorme de surveillance épidémiologique des pathogènes"
Le Burundi "aura une capacité énorme de surveillance épidémiologique des pathogènes"
Sputnik Afrique
Interrogé par Sputnik Afrique, Joseph Nyandwi, directeur général de l'Institut national de santé publique du Burundi, aborde les enjeux de la coopération... 30.03.2024, Sputnik Afrique
2024-03-30T12:07+0100
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Le centre médical russo-burundais va surveiller les agents pathogènes dans le pays africain, effectuer des tests épidémiologiques, des examens moléculaires sur place, explique à Sputnik Afrique Joseph Nyandwi, directeur général de l'Institut national de santé publique du Burundi. L’établissement formera également des spécialistes aux techniques de diagnosticPour une approche plus poussée, le centre va inclure des vétérinaires, ce qui aidera à surveiller les maladies zoonotiques.Il est prévu de d’accorder des bourses au personnel de l'Institut national de santé publique.Grâce à la coopération russo-burundaise, le pays sera capable de faire des tests épidémiologiques, des examens moléculaires sur place."Un autre avantage, c'est que la Russie va doter le Burundi d’un laboratoire mobile très équipé. Ceci va permettre au pays de contenir une épidémie dans une zone bien circonscrite", ajoute M. Nyandwi.
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Le Burundi "aura une capacité énorme de surveillance épidémiologique des pathogènes"
Interrogé par Sputnik Afrique, Joseph Nyandwi, directeur général de l'Institut national de santé publique du Burundi, aborde les enjeux de la coopération russo-burundaise dans le domaine médical.
Le centre médical russo-burundais va surveiller les agents pathogènes dans le pays africain, effectuer des tests épidémiologiques, des examens moléculaires sur place, explique à Sputnik Afrique Joseph Nyandwi, directeur général de l'Institut national de santé publique du Burundi. L’établissement formera également des spécialistes aux techniques de diagnostic
Pour une approche plus poussée, le centre va inclure des vétérinaires, ce qui aidera à surveiller les maladies zoonotiques.
Il est prévu de d’accorder des bourses au personnel de l'Institut national de santé publique.
Grâce à la coopération russo-burundaise, le pays sera capable de faire des tests épidémiologiques, des examens moléculaires sur place.
"Un autre avantage, c'est que la Russie va doter le Burundi d’un laboratoire mobile très équipé. Ceci va permettre au pays de contenir une épidémie dans une zone bien circonscrite", ajoute M. Nyandwi.
