https://fr.sputniknews.africa/20230416/des-journalistes-francais-preparent-un-reportage-sur-une-provocation-dans-la-region-de-zaporojie-1058645495.html
Des journalistes français débarquent dans la région de Zaporojié en vue d'une provocation
Des journalistes français débarquent dans la région de Zaporojié en vue d'une provocation
Sputnik Afrique
Des journalistes français se sont rendus dans la région de Zaporojié pour préparer des reportages sur la mise en scène de frappes russes contre les... 16.04.2023, Sputnik Afrique
2023-04-16T16:04+0200
2023-04-16T16:04+0200
2023-04-16T17:25+0200
donbass. opération russe
ministère russe de la défense
zaporojié
ukraine
russie
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/07e5/09/02/1046081083_0:100:1921:1180_1920x0_80_0_0_1c4079e83e4be2580db240e8b8acdae9.jpg
Se référant aux données du renseignement, la Défense russe a fait part d'une possible préparation d'une mise en scène de frappes russes dans la région de Zaporojié.Un groupe de journalistes français s’est rendu à Gouliaïpole pour la filmer, a fait savoir le chef du centre de presse du groupe militaire russe Vostok, Alexandre Gordeev.Provocations en vueMoscou avait déjà averti la communauté internationale de provocations que Kiev préparait pour discréditer les forces russes. L'une d'elles, avec le recours à des substances toxiques dans la ville de Soumy, dans le nord-est de l'Ukraine, a été évoquée par la Défense russe début avril.En avril 2022, Kiev avait orchestré une mise en scène à Boutcha, diffusant des informations sur de nombreux civils massacrés dans cette ville par les militaires russes. Moscou a déclaré que toutes les photos et vidéos étaient des faux. Le ministère de la Défense a signalé que l'armée russe avait quitté la ville le 30 mars et que les "témoignages" n’avaient été publiés que trois jours plus tard, lorsque la télévision et le Service de sécurité ukrainiens s’étaient déjà rendus dans la ville.
zaporojié
ukraine
russie
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
2023
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
Actus
fr_FR
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/07e5/09/02/1046081083_106:0:1813:1280_1920x0_80_0_0_d03596c47fb9e692c4d8f581e736cc02.jpgSputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
ministère russe de la défense, zaporojié, ukraine, russie
ministère russe de la défense, zaporojié, ukraine, russie
Des journalistes français débarquent dans la région de Zaporojié en vue d'une provocation
16:04 16.04.2023 (Mis à jour: 17:25 16.04.2023) Des journalistes français se sont rendus dans la région de Zaporojié pour préparer des reportages sur la mise en scène de frappes russes contre les infrastructures civiles, selon le ministère russe de la Défense.
Se référant aux données du renseignement, la Défense russe a fait part d'une possible préparation d'une mise en scène de frappes russes dans la région de Zaporojié.
Un groupe de journalistes français s’est rendu à Gouliaïpole pour la filmer, a fait savoir le chef du centre de presse du groupe militaire russe Vostok, Alexandre Gordeev.
Ils sont arrivés dans cette zone "afin de préparer avec un haut degré de probabilité des reportages provocateurs sur les frappes du groupe Vostok contre des infrastructures civiles et des quartiers civils", a-t-il précisé.
Moscou avait déjà averti la communauté internationale de provocations que Kiev préparait pour discréditer les forces russes. L'une d'elles, avec le recours à des substances toxiques dans la ville de Soumy, dans le nord-est de l'Ukraine, a été évoquée par la Défense russe début avril.
En avril 2022, Kiev avait orchestré une mise en scène à Boutcha, diffusant des informations sur de nombreux civils massacrés dans cette ville par les militaires russes. Moscou a déclaré que toutes les photos et vidéos étaient des faux. Le ministère de la Défense a signalé que l'armée russe avait quitté la ville le 30 mars et que les "témoignages" n’avaient été publiés que trois jours plus tard, lorsque la télévision et le Service de sécurité ukrainiens s’étaient déjà rendus dans la ville.