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Géorgie: retrait d'un projet de loi ayant provoqué des manifestations
Géorgie: retrait d'un projet de loi ayant provoqué des manifestations
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Le parti au pouvoir en Géorgie a annoncé jeudi le retrait d'un projet de loi visant ONG et médias qui a déclenché ces deux derniers jours des manifestations... 09.03.2023, Sputnik Afrique
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"En tant que parti de gouvernement responsable envers chaque membre de la société, nous avons décidé de retirer de façon inconditionnelle ce projet de loi que nous soutenions", a déclaré le parti du Rêve géorgien, dans un communiqué publié sur son site. Cette annonce intervient au lendemain de manifestations massives dans la capitale Tbilissi lors desquelles la police a utilisé des grenades lacrymogènes et des canons à eau pour disperser des dizaines de milliers de personnes rassemblées près du Parlement. Le mouvement de contestation a été déclenché par l'adoption mardi en première lecture d'un projet de loi prévoyant que les ONG et médias recevant plus de 20% de leur financement de l'étranger soient obligées de s'enregistrer en tant qu'"agents de l'étranger", sous peine d'amende. Dans son communiqué, le parti du Rêve géorgien estime que le projet de loi a été "présenté sous un mauvais jour de façon trompeuse", ajoutant qu'il allait lancer des consultations publiques pour "mieux expliquer" le but de ce texte. Le parti au pouvoir ne ferme donc pas complètement la porte à un retour futur de ce projet de loi au Parlement. Les manifestations qui ont secoué la Géorgie mardi et mercredi s'inscrivent dans un contexte plus large de crise politique dans ce pays du Caucase.
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Géorgie: retrait d'un projet de loi ayant provoqué des manifestations
Le parti au pouvoir en Géorgie a annoncé jeudi le retrait d'un projet de loi visant ONG et médias qui a déclenché ces deux derniers jours des manifestations massives durement réprimées dans ce pays du Caucase.
"En tant que parti de gouvernement responsable envers chaque membre de la société, nous avons décidé de retirer de façon inconditionnelle ce projet de loi que nous soutenions", a déclaré le parti du Rêve géorgien, dans un communiqué publié sur son site.
Cette annonce intervient au lendemain de manifestations massives dans la capitale Tbilissi lors desquelles la police a utilisé des grenades lacrymogènes et des canons à eau pour disperser des dizaines de milliers de personnes rassemblées près du Parlement.
Le mouvement de contestation a été déclenché par l'adoption mardi en première lecture d'un projet de loi prévoyant que les ONG et médias recevant plus de 20% de leur financement de l'étranger soient obligées de s'enregistrer en tant qu'"agents de l'étranger", sous peine d'amende.
Dans son communiqué, le parti du Rêve géorgien estime que le projet de loi a été "présenté sous un mauvais jour de façon trompeuse", ajoutant qu'il allait lancer des consultations publiques pour "mieux expliquer" le but de ce texte.
Le parti au pouvoir ne ferme donc pas complètement la porte à un retour futur de ce projet de loi au Parlement.
Les manifestations qui ont secoué la Géorgie mardi et mercredi s'inscrivent dans un contexte plus large de crise politique dans ce pays du Caucase.