https://fr.sputniknews.africa/20230119/nouvelle-zelande-la-premiere-ministre-jacinda-ardern-annonce-sa-demission-1057640219.html
Nouvelle-Zélande: la première ministre Jacinda Ardern annonce sa démission
Nouvelle-Zélande: la première ministre Jacinda Ardern annonce sa démission
Sputnik Afrique
La Première ministre de Nouvelle-Zélande Jacinda Ardern a annoncé jeudi sa démission, après cinq ans et demi au pouvoir et à neuf mois des élections... 19.01.2023, Sputnik Afrique
2023-01-19T07:16+0100
2023-01-19T07:16+0100
2023-01-19T07:16+0100
nouvelle-zélande
jacinda ardern
international
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/07e5/0c/14/1053996500_0:0:2809:1580_1920x0_80_0_0_78b68733af42e8c1bfa0750b9811b671.jpg
"Je suis humaine. Nous donnons autant que nous le pouvons et aussi longtemps que nous le pouvons, et puis c'est le moment. Et pour moi, ce moment est arrivé", a déclaré Mme Ardern lors d'une réunion de son Parti travailliste. Elle a indiqué que les prochaines élections se tiendront le 14 octobre prochain, et que d'ici-là, elle continuerait à exercer son mandat en tant que députée. Mme Ardern, 42 ans, a fait savoir que sa démission prendrait effet au plus tard le 7 février, ajoutant que le caucus travailliste voterait pour désigner un nouveau chef dans trois jours. Le vice-Premier ministre, Grant Robertson, a déclaré qu'il ne serait pas candidat à la succession de Mme Ardern. Jacinda Ardern était devenue Première ministre dans un gouvernement de coalition en 2017, avant de mener le Parti travailliste de centre-gauche à une victoire écrasante lors de l'élection suivante, trois ans plus tard. Durant son mandat, elle a fait face à la pandémie de Covid-19, à une éruption volcanique meurtrière et au massacre de 51 fidèles musulmans dans une mosquée de Christchurch par un suprémaciste blanc en 2019, le pire attentat de l'histoire du pays. Après avoir longtemps bénéficié d'un taux d'approbation record, elle a récemment vu sa cote de popularité personnelle chuter dans les sondages sur fond de détérioration de la situation économique.
nouvelle-zélande
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
2023
Actus
fr_FR
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/07e5/0c/14/1053996500_78:0:2809:2048_1920x0_80_0_0_53877152be551dcc8b520598c9ccb37c.jpgSputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
nouvelle-zélande, jacinda ardern, international
nouvelle-zélande, jacinda ardern, international
Nouvelle-Zélande: la première ministre Jacinda Ardern annonce sa démission
La Première ministre de Nouvelle-Zélande Jacinda Ardern a annoncé jeudi sa démission, après cinq ans et demi au pouvoir et à neuf mois des élections législatives.
"Je suis humaine. Nous donnons autant que nous le pouvons et aussi longtemps que nous le pouvons, et puis c'est le moment. Et pour moi, ce moment est arrivé", a déclaré Mme Ardern lors d'une réunion de son Parti travailliste.
Elle a indiqué que les prochaines élections se tiendront le 14 octobre prochain, et que d'ici-là, elle continuerait à exercer son mandat en tant que députée.
Mme Ardern, 42 ans, a fait savoir que sa démission prendrait effet au plus tard le 7 février, ajoutant que le caucus travailliste voterait pour désigner un nouveau chef dans trois jours.
Le vice-Premier ministre, Grant Robertson, a déclaré qu'il ne serait pas candidat à la succession de Mme Ardern.
Jacinda Ardern était devenue Première ministre dans un gouvernement de coalition en 2017, avant de mener le Parti travailliste de centre-gauche à une victoire écrasante lors de l'élection suivante, trois ans plus tard.
Durant son mandat, elle a fait face à la pandémie de Covid-19, à une éruption volcanique meurtrière et au massacre de 51 fidèles musulmans dans une mosquée de Christchurch par un suprémaciste blanc en 2019, le pire attentat de l'histoire du pays.
Après avoir longtemps bénéficié d'un taux d'approbation record, elle a récemment vu sa cote de popularité personnelle chuter dans les sondages sur fond de détérioration de la situation économique.
"Je pars parce qu'un poste aussi privilégié s'accompagne d'une grande responsabilité. La responsabilité de savoir quand vous êtes la bonne personne pour diriger, et aussi quand vous ne l'êtes pas", a-t-elle dit.