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Carburants: les "grands espoirs" de l'hôtellerie française
Carburants: les "grands espoirs" de l'hôtellerie française
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La première semaine des congés de la Toussaint s'annonce "morose" pour l'hôtellerie française qui place "de grands espoirs" sur la semaine suivante. 22.10.2022, Sputnik Afrique
2022-10-22T10:45+0200
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Сomptant sur une amélioration de la situation dans les stations-service, l'hôtellerie française place "de grands espoirs" sur la semaine suivante, a indiqué le principal syndicat patronal de l'hôtellerie-restauration (Umih)."La première semaine est morose" mais "petit à petit les réservations reprennent" à mesure que la situation s'améliore au niveau de l'approvisionnement de carburants, a assuré Laurent Duc, président de l'Umih, interrogé samedi sur Europe 1.Le recul des réservations "n'est plus que de 15 à 20% quand il était de 30 à 40% il y a une semaine" avec "des annulations à la chaîne" au pic des pénuries dans les stations, note M. Duc qui place "de grands espoirs" sur la semaine suivante avec le pont du 1er novembre.L'hôtellerie, qui "vient de passer deux années terribles" en raison de la crise sanitaire, qui "souffre du télétravail" et qui fait face à la "concurrence effrénée de meublés touristiques", subit "de plein fouet" les conséquences du mouvement social dans les raffineries, a-t-il ajouté sur RMC.Les manifestaitons annoncées La CGT, qui a organisé une mobilisation interprofessionnelle mardi dans toute la France, a annoncé deux nouvelles dates pour des grèves et manifestations, les 27 octobre et 10 novembre, afin de ne pas relâcher la pression malgré l'amorce d'une sortie de crise dans le nucléaire et les raffineries.
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Carburants: les "grands espoirs" de l'hôtellerie française
10:45 22.10.2022 (Mis à jour: 10:49 22.10.2022) La première semaine des congés de la Toussaint s'annonce "morose" pour l'hôtellerie française qui place "de grands espoirs" sur la semaine suivante.
Сomptant sur une amélioration de la situation dans les stations-service, l'hôtellerie française place "de grands espoirs" sur la semaine suivante, a indiqué le principal syndicat patronal de l'hôtellerie-restauration (Umih).
"La première semaine est morose" mais "petit à petit les réservations reprennent" à mesure que la situation s'améliore au niveau de l'approvisionnement de carburants, a assuré Laurent Duc, président de l'Umih, interrogé samedi sur Europe 1.
Le recul des réservations "n'est plus que de 15 à 20% quand il était de 30 à 40% il y a une semaine" avec "des annulations à la chaîne" au pic des pénuries dans les stations, note M. Duc qui place "de grands espoirs" sur la semaine suivante avec le pont du 1er novembre.
L'hôtellerie, qui "vient de passer deux années terribles" en raison de la crise sanitaire, qui "souffre du télétravail" et qui fait face à la "concurrence effrénée de meublés touristiques", subit "de plein fouet" les conséquences du mouvement social dans les raffineries, a-t-il ajouté sur RMC.
Les manifestaitons annoncées
La CGT, qui a organisé une mobilisation interprofessionnelle mardi dans toute la France, a annoncé deux nouvelles dates pour des grèves et manifestations, les 27 octobre et 10 novembre, afin de ne pas relâcher la pression malgré l'amorce d'une sortie de crise dans le nucléaire et les raffineries.
