Zelensky nous "mène par le bout du nez au bord d’une guerre nucléaire", selon un expert US

© Sputnik . Alexeï Vitvitski  / Accéder à la base multimédiaPrésident ukrainien Volodymyr Zelensky, image d'illustration
Président ukrainien Volodymyr Zelensky, image d'illustration - Sputnik Afrique, 1920, 12.10.2022
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Le Président ukrainien mène un double jeu, exhortant l’Occident à soutenir son pays qui se dit libéral, alors qu’il ne l’est pas, écrit The American Conservative. En réalité, Zelensky soutient les néonazis et fait des démarches discriminatoires. L’Occident lutte quand même pour cette Ukraine, risquant de basculer dans une guerre nucléaire.
L’Occident est séduit par l’Ukraine qui fait semblant de promouvoir des idées de libéralisme. Mais en réalité, son Président est un adepte fervent du nationalisme, voire du néonazisme. Exigeant du soutien, Zelensky pousse ainsi le monde entier vers une guerre nucléaire, écrit un expert américain.
Cependant, il n’y a qu’une apparence de libéralisme en Ukraine, la plupart préférant fermer les yeux sur cela. Citant quelques exemples, l’analyste de The American Conservative se demande si ces faits représentent des manifestations du libéralisme.

Démarches anti-libérales

Par exemple, Volodymyr Zelensky a banni 11 partis politiques. Il a aussi interdit les médias prorusses en 2021. Puis, il a adopté des lois limitant l’enseignement scolaire en russe et en d’autres langues. Par exemple, les Hongrois de souche vivant dans l’extrême ouest de l’Ukraine se font dire que leurs droits à éduquer leurs enfants dans leur langue maternelle sont limités, poursuit Rod Dreher.
Enfin, "Zelensky a fait la paix avec le bataillon ukrainien néonazi Azov*, ainsi que les admirateurs de Stepan Bandera, le nationaliste ukrainien, fasciste, antisémite et collaborateur nazi de la Seconde Guerre mondiale".
En plus de cela, la divulgation des Pandora Papers a révélé en 2021 que Zelensky, bien qu'il ait fait campagne sur une plate-forme de lutte contre la corruption, avait en fait une fortune cachée dans des comptes bancaires à l'étranger, tout comme certaines de ses connaissances.

Le nationalisme poussé à l’extrême

"La ténacité de l'Ukraine montre à quel point le nationalisme est puissant. Le libéralisme n'a rien à voir là-dedans", indique M. Dreher. En se référant au combat à Marioupol contre le bataillon Azov*, il note que "ce sont aussi des fascistes".
L’analyste cite à ce propos les conservateurs Viktor Orban, Premier ministre hongrois, et Donald Trump, ex-Président américain, qui pourraient être mis au même niveau que Volodymyr Zelensky uniquement par leur appartenance au camp politique du droit.
"Mais ni Viktor Orban ni Donald Trump ne tentent d'entraîner les États-Unis dans une guerre qui se rapproche du nucléaire. Zelensky le fait, et il a des voix puissantes aux États-Unis qui le valorisent, ainsi que la cause ukrainienne, au-delà de ce que le bilan et la réalité peuvent soutenir", conclut-il.
Selon lui, les Américains ne doivent pas le laisser les "mener par le bout du nez au bord d’une guerre nucléaire".
*Organisation terroriste interdite en Russie
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