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Un observateur français à Sputnik: "J’espère que ce référendum va amener plus de stabilité"
Un observateur français à Sputnik: "J’espère que ce référendum va amener plus de stabilité"
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Arrivé à Lougansk pour observer la tenue du référendum, un Français a noté auprès d'un correspondant de Sputnik Afrique sur place l’absence de pression sur la... 26.09.2022, Sputnik Afrique
2022-09-26T16:32+0200
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Le géopolitologue français Pierre-Emmanuel Thomann est arrivé à Lougansk en tant qu’observateur pour surveiller le déroulement du référendum.Dans une interview accordée à un correspondant de Sputnik Afrique, il a confié que le scrutin était organisé "dans le cadre du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes dans les républiques du Donbass".Le meilleur moyen d’y arriver est "de demander aux gens à quel État ils veulent appartenir"."C’est différent de ce que j’entends"Comme l’a expliqué M.Thomann, après avoir appris "beaucoup de choses dans les médias européens", il a voulu se "rendre compte sur le terrain" de ce qui se passe.Pas de pressionEn outre, il a dit avoir observé plusieurs bureaux de vote en notant que "techniquement c’est très bien organisé".Vers l’adhésion à la Russie?Du 23 au 27 septembre, les habitants des régions de Lougansk, Donetsk, Zaporojié et Kherson participent aux référendums. Les votants doivent déterminer l’avenir de ces territoires, principalement russophones, quant à l’intégration à la Russie.Plusieurs observateurs internationaux surveillent le processus du scrutin.
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Un observateur français à Sputnik: "J’espère que ce référendum va amener plus de stabilité"
16:32 26.09.2022 (Mis à jour: 03:12 27.09.2022) Arrivé à Lougansk pour observer la tenue du référendum, un Français a noté auprès d'un correspondant de Sputnik Afrique sur place l’absence de pression sur la population. Pour lui, le meilleur moyen d’arriver à la stabilité est "de demander aux gens à quel État ils veulent appartenir".
Le géopolitologue français Pierre-Emmanuel Thomann est arrivé à Lougansk en tant qu’observateur pour surveiller le
déroulement du référendum.
Dans une interview accordée à un correspondant de Sputnik Afrique, il a confié que le scrutin était organisé "dans le cadre du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes dans les républiques du Donbass".
"C’est un jour historique et je suis très heureux de participer à ces événements historiques. Je pense que l’avenir d’une Europe stable ne peut que se réaliser avec la Russie. J’espère que ce référendum va amener plus de stabilité", a-t-il dit.
Le meilleur moyen d’y arriver est "de demander aux gens à quel État ils veulent appartenir".
"C’est différent de ce que j’entends"
Comme l’a expliqué M.Thomann, après avoir appris "beaucoup de choses dans les médias européens", il a voulu se "rendre compte sur le terrain" de ce qui se passe.
"Et souvent c’est différent de ce que j’entends. C’est pour ça je suis content d’y venir et de voir moi–même", a-t-il indiqué.
En outre, il a dit avoir observé plusieurs bureaux de vote en notant que "techniquement c’est très bien organisé".
"Les mêmes règles, comme en France, sont respectées. Il n’y a pas de pression, c’est très calme ici, les gens sont pas forcés de voter. Et les gens sont enthousiastes. J’ai même entendu dire que certains citoyens attendaient ça depuis des années. Ils sont très contents de pouvoir choisir leur avenir", a-t-il conclu.
Vers l’adhésion à la Russie?
Du 23 au 27 septembre, les habitants des régions de Lougansk, Donetsk, Zaporojié et Kherson participent
aux référendums. Les votants doivent déterminer l’avenir de ces territoires, principalement russophones, quant à l’intégration à la Russie.
Plusieurs observateurs internationaux surveillent le processus du scrutin.
