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Une observatrice néerlandaise au référendum craint d'être persécutée dans son pays d'origine
Une observatrice néerlandaise au référendum craint d'être persécutée dans son pays d'origine
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Une observatrice néerlandaise au référendum de la République populaire de Lougansk a peur d’être poursuivie par la justice dans sa patrie. N’excluant pas un... 25.09.2022, Sputnik Afrique
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Plusieurs observateurs internationaux surveillent les référendums se déroulant dans quatre territoires russophones, en majorité libérés par l’armée russe lors de l’opération spéciale.Arrivée depuis les Pays-Bas dans la République populaire de Lougansk en tant qu’observatrice, une femme dit craindre qu’elle et sa fille soient persécutées dans leur pays d’origine.Pour l’instant, elles ont décidé de ne pas rentrer.Des votes en coursDu 23 au 27 septembre, des référendums se tiennent dans les régions de Lougansk, Donetsk, Zaporojié et Kherson. Les votants doivent déterminer l’avenir de ces territoires, principalement russophones, quant à l’intégration à la Russie.Les résultats d’une étude sur les intentions du vote, diffusée par Insomar le 24 septembre, constatent que la majorité des interrogés veulent prendre part aux événements.Plus concrètement, 91% des habitants de la République populaire de Lougansk et 89% dans la République populaire de Donetsk envisagent de participer au scrutin, tandis que cet indicateur est de 82% dans la région de Zaporojié et 72% dans la région de Kherson.Bruxelles et Washington ont déjà déclaré qu’ils ne reconnaîtront pas les résultats des référendums. Par contre, pour certains analystes internationaux, leur tenue est complètement légitime, car elle met en avant le droit des peuples à l’autodétermination.
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Une observatrice néerlandaise au référendum craint d'être persécutée dans son pays d'origine
16:49 25.09.2022 (Mis à jour: 03:12 27.09.2022) Une observatrice néerlandaise au référendum de la République populaire de Lougansk a peur d’être poursuivie par la justice dans sa patrie. N’excluant pas un possible procès, elle a pris la décision de ne pas y retourner pour l’instant.
Plusieurs observateurs internationaux surveillent les
référendums se déroulant dans quatre territoires russophones, en majorité libérés par l’armée russe lors de l’opération spéciale.
Arrivée depuis les Pays-Bas dans la République populaire de Lougansk en tant qu’observatrice, une femme dit craindre qu’elle et sa fille soient persécutées dans leur pays d’origine.
"À la clé, il pourrait même y avoir un procès", a-t-elle indiqué à Sputnik.
Pour l’instant, elles ont décidé de ne pas rentrer.
Du 23 au 27 septembre, des référendums se tiennent dans les régions de Lougansk, Donetsk, Zaporojié et Kherson. Les votants doivent déterminer l’avenir de ces territoires, principalement russophones, quant à l’intégration à la Russie.
Les résultats d’une
étude sur les intentions du vote, diffusée par Insomar le 24 septembre, constatent que la majorité des interrogés veulent prendre part aux événements.
Plus concrètement, 91% des habitants de la République populaire de Lougansk et 89% dans la République populaire de Donetsk envisagent de participer au scrutin, tandis que cet indicateur est de 82% dans la région de Zaporojié et 72% dans la région de Kherson.
Bruxelles et Washington ont déjà déclaré qu’ils ne reconnaîtront pas les résultats des référendums. Par contre, pour certains analystes internationaux, leur
tenue est complètement légitime, car elle met en avant le droit des peuples à l’autodétermination.