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La police trouve 20 corps momifiés dans un sanctuaire au Nigeria
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Sputnik Afrique
La police de l'État d'Edo, dans le sud du Nigeria, a découvert 20 cadavres momifiés à l'intérieur d'un bâtiment appartenant à l'État, soupçonné d'être utilisé... 19.08.2022, Sputnik Afrique
2022-08-19T16:38+0200
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La découverte a été faite mercredi à la suite d'une dénonciation, a déclaré mercredi la porte-parole des forces de l’ordre locales, Jennifer Iwegbu, dans un communiqué.Une vidéo choquante a été postée sur Twitter, montrant les cadavres empilés dans une pièce. Certains étaient maintenus en position verticale, près du mur. D'autres étaient allongés.La police soupçonne que le bâtiment a été utilisé comme sanctuaire vaudou pour des meurtres rituels.Sur les 20 corps, 15 sont des cadavres d'hommes, trois de femmes et deux d'enfants, selon Mme Iwegbu.D'après les forces de l’ordre, les corps auraient été ramenés d'une morgue car ils portaient encore des étiquettes d'identification.Sur les lieux, trois suspects ont été arrêtés, tandis que d'autres ont pris la fuite. Ils sont recherchés.La découverte a choqué le pays et les habitants de la région se disent horrifiés.Problèmes sécuritairesEdo, comme plusieurs autres États du Nigeria, est confronté à des problèmes de sécurité, en particulier des meurtres non résolus et des enlèvements contre rançon.Un prêtre catholique, Christopher Odia, a été tué à Edo par des ravisseurs en juin.Un autre prélat italien, Luigi Brena, a été enlevé par des hommes armés en juillet à Edo, puis a été secouru par la police.
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La police trouve 20 corps momifiés dans un sanctuaire au Nigeria
La police de l'État d'Edo, dans le sud du Nigeria, a découvert 20 cadavres momifiés à l'intérieur d'un bâtiment appartenant à l'État, soupçonné d'être utilisé comme un sanctuaire vaudou.
La découverte a été faite mercredi à la suite d'une dénonciation, a déclaré mercredi la porte-parole des forces de l’ordre locales, Jennifer Iwegbu, dans un communiqué.
Une vidéo choquante a été postée sur Twitter, montrant les cadavres empilés dans une pièce. Certains étaient maintenus en position verticale, près du mur. D'autres étaient allongés.
La police soupçonne que le bâtiment a été utilisé comme sanctuaire vaudou pour des meurtres rituels.
Sur les 20 corps, 15 sont des cadavres d'hommes, trois de femmes et deux d'enfants, selon Mme Iwegbu.
D'après les forces de l’ordre, les corps auraient été ramenés d'une morgue car ils portaient encore des étiquettes d'identification.
Sur les lieux, trois suspects ont été arrêtés, tandis que d'autres ont pris la fuite. Ils sont recherchés.
La découverte a choqué le pays et les habitants de la région se disent horrifiés.
Edo, comme plusieurs autres États du Nigeria, est confronté à des problèmes de sécurité, en particulier des meurtres non résolus et des enlèvements contre rançon.
Un prêtre catholique, Christopher Odia, a été tué à Edo par des ravisseurs en juin.
Un autre prélat italien, Luigi Brena, a été enlevé par des hommes armés en juillet à Edo, puis a été secouru par la police.
