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La Défense russe présente des mines interdites d’origine belge retrouvées en Ukraine – photo
La Défense russe présente des mines interdites d’origine belge retrouvées en Ukraine – photo
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Interdites par la Convention de Genève, des mines antipersonnel d’origine belge ont été récupérées par l’armée russe au cours de son opération en Ukraine et... 17.08.2022, Sputnik Afrique
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Saisies au cours de l’opération militaire russe en Ukraine, des mines antipersonnel belges sont exposées en Russie dans le cadre du Forum Armée 2022.Il s’agit notamment de quelques échantillons de NR409 (M409) et M35, interdites par la Convention de Genève. Elles ont été trouvées dans le village de Bohorodychne, en République populaire de Donetsk.Selon leurs fiches techniques, elles prévoient une charge de 100 grammes d’explosif. Les dispositifs sont privés de mécanismes d’autodestruction. D’ailleurs, une explosion d’une telle force peut arracher une jambe, a précisé le colonel Pavel Romachkine à Sputnik.Quant aux mines italiennes TS50, récupérées en République populaire de Lougansk, elles peuvent contenir 50 grammes d’explosif, a-t-il expliqué.Cependant, aucune information n’est disponible sur une éventuelle livraison de ces engins à l’Ukraine avant ou pendant le conflit.D’autres mines retrouvéesCe n’est pas la première fois que les militaires russes découvrent des mines antipersonnel sur le terrain. Précédemment, des engins soviétiques PMF-1 "Lepestok" ("Pétale") ont été récupérés dans le Donbass. Afin de les disperser dans les airs, l’artillerie ukrainienne utilise des lance-roquettes multiples. Celaa fait déjà des dizaines de victimes civiles. La Russie a envoyé à l’Onu les documents nécessaires attestant ces violations de la Convention de Genève.Enfin, des mines antichars françaises EMP F2 ont été découvertes en août dans des positions des forces armées ukrainiennes. Ces mines d’origine française représentent un danger particulier car elles ne peuvent pas être neutralisées après installation. Elles explosent même à l’approche d’un détecteur de métaux électromagnétique, ce qui rend même leur recherche très risquée.Sputnik est un partenaire médiatique international du Forum Armée 2022
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La Défense russe présente des mines interdites d’origine belge retrouvées en Ukraine – photo
15:55 17.08.2022 (Mis à jour: 17:07 17.08.2022) Interdites par la Convention de Genève, des mines antipersonnel d’origine belge ont été récupérées par l’armée russe au cours de son opération en Ukraine et sont exposées pour le Forum Armée-2022.
Saisies au cours de l’opération militaire russe en Ukraine, des mines antipersonnel belges sont exposées en Russie dans le cadre du
Forum Armée 2022. Il s’agit notamment de quelques échantillons de NR409 (M409) et M35, interdites par la Convention de Genève. Elles ont été trouvées dans le village de Bohorodychne, en République populaire de Donetsk.
Selon leurs fiches techniques, elles prévoient une charge de 100 grammes d’explosif. Les dispositifs sont privés de mécanismes d’autodestruction. D’ailleurs, une explosion d’une telle force peut arracher une jambe, a précisé le colonel Pavel Romachkine à Sputnik.
Quant aux mines italiennes TS50, récupérées en République populaire de Lougansk, elles peuvent contenir 50 grammes d’explosif, a-t-il expliqué.
Cependant, aucune information n’est disponible sur une éventuelle livraison de ces engins à l’Ukraine avant ou pendant le conflit.
D’autres mines retrouvées
Ce n’est pas la première fois que les militaires russes découvrent des mines antipersonnel sur le terrain. Précédemment, des engins soviétiques PMF-1 "Lepestok" ("Pétale") ont été récupérés dans le Donbass. Afin de les disperser dans les airs, l’artillerie ukrainienne utilise des lance-roquettes multiples. Celaa fait déjà des dizaines de victimes civiles. La Russie a envoyé à l’Onu les documents nécessaires attestant ces violations de la Convention de Genève.
Enfin, des
mines antichars françaises EMP F2 ont été découvertes en août dans des positions des forces armées ukrainiennes. Ces mines d’origine française représentent un danger particulier car elles ne peuvent pas être neutralisées après installation. Elles explosent même à l’approche d’un détecteur de métaux électromagnétique, ce qui rend même leur recherche très risquée.
Sputnik est un partenaire médiatique international du Forum Armée 2022