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"Si la chimie allemande s’enrhume, c’est toute l’industrie européenne qui tousse!"
"Si la chimie allemande s’enrhume, c’est toute l’industrie européenne qui tousse!"
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Contrairement à la Grèce, l’Espagne ou le Portugal, la France soutient la demande de la Commission européenne de diminuer considérablement la demande en gaz de... 24.07.2022, Sputnik Afrique
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Agnès Pannier-Runacher, ministre française de la Transition énergétique, a dévoilé l’avis du gouvernement concernant le projet gazier présenté récemment par la Commission européenne.Elle n'a pas précisé si le gouvernement était prêt à soutenir cette initiative dans son intégralité sans aucun changement.La ministre a également dévoilé certaines mesures concrètes que le gouvernement envisage d’entreprendre:Le 14 juillet, le jour de la fête nationale, M.Macron a exhorté ses compatriotes à la sobriété énergétique.Plan de BruxellesLa Commission européenne a demandé le 20 juillet aux pays membres de réduire volontairement leur demande en gaz au cours des huit prochains mois. Ce plan prévoit concrètement que chaque pays fasse "tout son possible" pour réduire d'au moins 15% entre août 2022 et mars 2023 sa consommation par rapport à la moyenne des cinq dernières années. La proposition doit être discutée le 26 juillet lors d'un Conseil européen.Peu après l’annonce la Grèce, le Portugal et l'Espagne ont exprimé leur opposition. Par contre, la Finlande et les Pays-Bas ont déjà atteint l'objectif fixé.
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"Si la chimie allemande s’enrhume, c’est toute l’industrie européenne qui tousse!"
16:43 24.07.2022 (Mis à jour: 18:15 24.07.2022) Contrairement à la Grèce, l’Espagne ou le Portugal, la France soutient la demande de la Commission européenne de diminuer considérablement la demande en gaz de l’UE pour surmonter la chute des livraisons russes.
Agnès Pannier-Runacher, ministre française de la Transition énergétique, a dévoilé l’avis du gouvernement concernant le projet gazier présenté récemment par la Commission européenne.
"On prendra toute notre part, parce qu’il faut jouer collectif. Si la chimie allemande s’enrhume, c’est toute l’industrie européenne qui tousse! La solidarité doit fonctionner, et elle doit être réciproque sur le gaz comme sur l’électricité", a déclaré la ministre dans une interview au Journal du Dimanche.
Elle n'a pas précisé si le gouvernement était prêt à soutenir cette initiative dans son intégralité sans aucun changement.
La ministre a également dévoilé certaines mesures concrètes que le gouvernement envisage d’entreprendre:
"Anticipons: préparons des achats groupés de gaz, accompagnons les petits acteurs gaziers, travaillons avec les entreprises qui peuvent diminuer leur consommation ponctuellement, coordonnons-nous entre États membres".
Le 14 juillet, le jour de la fête nationale, M.Macron a exhorté ses compatriotes à la sobriété énergétique.
La Commission européenne a demandé le 20 juillet aux pays membres de réduire volontairement leur
demande en gaz au cours des huit prochains mois. Ce plan prévoit concrètement que chaque pays fasse "tout son possible" pour réduire d'au moins 15% entre août 2022 et mars 2023 sa consommation par rapport à la moyenne des cinq dernières années. La proposition doit être discutée le 26 juillet lors d'un Conseil européen.
Peu après l’annonce la Grèce, le Portugal et l'Espagne ont exprimé leur opposition. Par contre, la Finlande et les Pays-Bas ont déjà atteint l'objectif fixé.