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Ukraine: "Personne en Europe ne souhaite la guerre avec la Russie"
Ukraine: "Personne en Europe ne souhaite la guerre avec la Russie"
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Roland Pietrini, ancien membre du renseignement militaire français, explique au micro de Rachel Marsden pourquoi le rôle de la France est important dans la... 22.02.2022, Sputnik Afrique
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Face à la reconnaissance de Moscou le 21 février de l’indépendance des régions de Donetsk et Lukansk, Roland Pietrini, ancien membre du renseignement militaire français qui a servi notamment à l’Est pendant la guerre froide, croit en une résolution diplomatique pour sortir du conflit en Ukraine. Pour lui, "la situation n’est pas à ce point tendue qu’un conflit puisse éclater":Il estime qu’avec Paris, il y a toujours eu une possibilité de dialogue:
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Ukraine: "Personne en Europe ne souhaite la guerre avec la Russie"
15:32 22.02.2022 (Mis à jour: 12:09 02.03.2023) Roland Pietrini, ancien membre du renseignement militaire français, explique au micro de Rachel Marsden pourquoi le rôle de la France est important dans la crise ukrainienne.
Face à la reconnaissance de Moscou le 21 février de l’indépendance des régions de Donetsk et Lukansk, Roland Pietrini, ancien membre du renseignement militaire français qui a servi notamment à l’Est pendant la guerre froide, croit en une résolution diplomatique pour sortir du conflit en Ukraine.
Pour lui, "la situation n’est pas à ce point tendue qu’un conflit puisse éclater":
"La Russie, à mon avis, demande une négociation sur la sécurité en Europe avec une approche pas forcément fermée et la position de la France est proche de celle de Moscou, personne en Europe ne souhaite la guerre avec la Russie. Je pense que la diplomatie a toute sa place. Si on arrivait à se rencontrer et à parler des problèmes de l’Europe, on ferait de grands pas vers la paix."
Il estime qu’avec Paris, il y a toujours eu une possibilité de dialogue:
"Il ne faut pas oublier que les Français ont combattu avec les troupes soviétiques contre les nazis de 1943 à 1945. Eux ne l’oublient pas. Et je pense qu’avec le dialogue, nous pouvons faire avancer des idées communes sur l’Europe, sur la manière de gérer l’Europe, sur la manière d’évoluer, sur la manière d’avoir des relations, et moi je suis plutôt optimiste."
