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France: l'hypothèse d'une levée du pass mi-mars se précise
France: l'hypothèse d'une levée du pass mi-mars se précise
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Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a précisé mardi les critères qui permettront de nouveaux allègements des restrictions en vigueur dans le cadre de la... 22.02.2022, Sputnik Afrique
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Au vu des recommandations des experts qui conseillent le gouvernement, notamment du Conseil scientifique, trois indicateurs permettront de constater un reflux de l'épidémie suffisant pour envisager des allègements: le nombre de patients COVID hospitalisés en réanimation, la dynamique épidémique et le taux d'incidence.Il faudra également que l'épidémie soit sur une "pente décroissante" et que "le facteur R de reproduction du virus soit durablement inférieur à 1", a souligné le ministre.Ce taux reflète la contagiosité d'un agent pathogène et lorsqu'il est inférieur à 1, le nombre de nouveaux cas diminue avec le temps.Il faudra également "qu'on ait atteint un niveau de taux d'incidence qui soit assez faible, entre 300 et 500 (cas pour 100.000 habitants sur sept jours glissants) au maximum pour pouvoir considérer qu'on a vraiment franchi le plus dur, a ajouté Olivier Véran.Même si "on voit la décrue de l'épidémie" et que le pic de la vague épidémique alimentée par le variant Omicron du coronavirus a été franchi, le nombre de décès quotidiens reste encore élevé, a souligné le ministre.
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France: l'hypothèse d'une levée du pass mi-mars se précise
Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a précisé mardi les critères qui permettront de nouveaux allègements des restrictions en vigueur dans le cadre de la lutte contre la pandémie de COVID-19, dont une probable levée du pass sanitaire, autour de la mi-mars.
"D'ici à la mi-mars, peut-être un peu avant, peut-être un peu après, nous aurons rempli les critères qui nous sont aujourd'hui demandés avant de pouvoir alléger le port du masque à l'intérieur, enfin, et le pass vaccinal dans tout ou partie des lieux qui l'appliquent aujourd'hui", a déclaré Olivier Véran lors d'une audition par des sénateurs.
Au vu des recommandations des experts qui conseillent le gouvernement, notamment du Conseil scientifique, trois indicateurs permettront de constater un reflux de l'épidémie suffisant pour envisager des allègements: le nombre de patients COVID hospitalisés en réanimation, la dynamique épidémique et le taux d'incidence.
"Il faudrait qu'on redescende autour de 1.500 patients COVID en réa pour qu'on considère que le fonctionnement normal des hôpitaux serait restauré, ce qui, à ce rythme pourrait intervenir d'ici deux ou trois semaines", a expliqué Olivier Véran, alors que 2.905 patients étaient encore en réanimation la veille.
Il faudra également que l'épidémie soit sur une "pente décroissante" et que "le facteur R de reproduction du virus soit durablement inférieur à 1", a souligné le ministre.
Ce taux reflète la contagiosité d'un agent pathogène et lorsqu'il est inférieur à 1, le nombre de nouveaux cas diminue avec le temps.
Il faudra également "qu'on ait atteint un niveau de taux d'incidence qui soit assez faible, entre 300 et 500 (cas pour 100.000 habitants sur sept jours glissants) au maximum pour pouvoir considérer qu'on a vraiment franchi le plus dur, a ajouté Olivier Véran.
Même si "on voit la décrue de l'épidémie" et que le pic de la vague épidémique alimentée par le variant Omicron du coronavirus a été franchi, le nombre de décès quotidiens reste encore élevé, a souligné le ministre.