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L'agresseur présumé de Zemmour mis en examen pour violences volontaires
L'agresseur présumé de Zemmour mis en examen pour violences volontaires
L'homme suspecté d'avoir légèrement blessé le candidat d'extrême droite à la présidentielle Een l'empoignant lors de son meeting dimanche en Seine-Saint-Denis... 08.12.2021, Sputnik Afrique
2021-12-08T21:28+0100
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L'agresseur présumé est mis en examen pour "violences volontaires avec ITT (incapacité totale de travail) supérieure à huit jours et placé sous contrôle judiciaire", a indiqué le parquet.Il a également interdiction de quitter le territoire, de détenir ou porter une arme et d'entrer en contact avec la victime, a-t-il précisé.Le mis en cause est accusé d'avoir causé une blessure au poignet du candidat en l'agrippant au milieu de la foule lors de son meeting dimanche à Villepinte (Seine-Saint-Denis), le premier de sa campagne présidentielle.Aussitôt exfiltré, il avait ensuite été interpellé par la police.Dans une procédure parallèle liée à ce rassemblement politique, le parquet de Bobigny a également ouvert une enquête sur les violences commises à l'encontre de militants de SOS Racisme venus protester dans la salle contre le candidat.Ces deux enquêtes distinctes ont été confiées à la sûreté départementale.
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L'agresseur présumé de Zemmour mis en examen pour violences volontaires
21:28 08.12.2021 (Mis à jour: 21:35 08.12.2021)
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L'homme suspecté d'avoir légèrement blessé le candidat d'extrême droite à la présidentielle Een l'empoignant lors de son meeting dimanche en Seine-Saint-Denis a été mis examen pour violences volontaires, a appris l'AFP ce mercredi auprès du parquet de Bobigny.
L'agresseur présumé est mis en examen pour
"violences volontaires avec ITT (incapacité totale de travail) supérieure à huit jours et placé sous contrôle judiciaire", a indiqué le parquet.
Il a également interdiction de quitter le territoire, de détenir ou porter une arme et d'entrer en contact
avec la victime, a-t-il précisé.
Le mis en cause est accusé d'avoir causé une blessure au poignet du candidat en l'agrippant au milieu de la foule
lors de son meeting dimanche à Villepinte (Seine-Saint-Denis), le premier de sa campagne présidentielle.
Aussitôt exfiltré, il avait ensuite été interpellé par la police.
Dans une procédure parallèle liée à ce rassemblement politique, le parquet de Bobigny a également ouvert une enquête sur les violences commises à l'encontre de militants de SOS Racisme venus protester dans la salle contre le candidat.
Ces deux enquêtes distinctes ont été confiées à la sûreté départementale.
Éric Zemmour a condamné mardi "toutes les violences" qui ont perturbé sa réunion publique, tout en qualifiant les militants de SOS Racisme agressés de "provocateurs".