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Florian Philippot: "La première urgence est le rétablissement intégral de toutes nos libertés"
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Candidat pour 2022, Florian Philippot tenait dimanche son premier meeting de campagne. Celui qui est devenu une figure du mouvement anti-pass entend poursuivre... 30.10.2021, Sputnik Afrique
2021-10-30T08:57+0200
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Pour ce premier numéro de notre émission Objectif Élysée, le président des Patriotes revient sur les raisons de son engagement pour l’élection présidentielle de 2022. Ce dimanche 24 octobre, il réunissait plus de mille personnes à Aubervilliers pour inaugurer son lancement de campagne. Celui qui est devenu en quelques mois une figure du mouvement anti-pass entend poursuivre son «combat pour la liberté» sur la scène électorale en 2022.«La première urgence, c’est le rétablissement total, intégral, définitif, sans retour en arrière possible de toutes nos libertés», martèle-t-il. Une «rupture avec l’ordre oligarchique» qui englobe selon lui l’ensemble des sujets qui préoccupent aujourd’hui les Français, immigration et sécurité compris.Le candidat souverainiste reste néanmoins toujours crédité de 0,5 à 2% d’intentions de vote. Des sondages qui, selon lui, «ne veulent strictement rien dire» à six mois du vote.
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Florian Philippot: "La première urgence est le rétablissement intégral de toutes nos libertés"
Candidat pour 2022, Florian Philippot tenait dimanche son premier meeting de campagne. Celui qui est devenu une figure du mouvement anti-pass entend poursuivre son combat pour la liberté jusque devant les électeurs.
«Le pass est la face émergée de l’iceberg. Ce qui se met en place, c’est une société de contrôle et de surveillance qui est largement avancée», prévient Florian Philippot devant les caméras de Sputnik.
Pour ce premier numéro de notre émission Objectif Élysée, le président des Patriotes revient sur les raisons de son engagement pour l’élection présidentielle de 2022. Ce dimanche 24 octobre, il réunissait plus de mille personnes à Aubervilliers pour inaugurer son lancement de campagne. Celui qui est devenu en quelques mois une figure du mouvement anti-pass entend poursuivre son «combat pour la liberté» sur la scène électorale en 2022.
«La première urgence, c’est le rétablissement total, intégral, définitif, sans retour en arrière possible de toutes nos libertés», martèle-t-il. Une «rupture avec l’ordre oligarchique» qui englobe selon lui l’ensemble des sujets qui préoccupent aujourd’hui les Français, immigration et sécurité compris.
Le candidat souverainiste reste néanmoins toujours crédité de 0,5 à 2% d’intentions de vote. Des sondages qui, selon lui, «ne veulent strictement rien dire» à six mois du vote.
«Combien de Français savent que je suis candidat? Attendez, on est en octobre, rétorque-t-il à notre micro. J’ai été donné en début de campagne régionale dans le Grand Est l’an dernier à 1%. J’ai fini à 7%. C’est pas grandiose, mais c’est quand même quelque chose. Et surtout ce n’est pas 1%! Donc, ne vous inquiétez pas, je ne ferai pas 1% à la présidentielle.»