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Amende record de 225 millions d'euros pour Whatsapp en Irlande
Amende record de 225 millions d'euros pour Whatsapp en Irlande
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Whatsapp a été condamné jeudi par l'autorité numérique irlandaise à payer une amende record de 225 millions d'euros, à l'issue d'une enquête demandée par la... 02.09.2021, Sputnik Afrique
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Cette amende est la plus importante jamais infligée par le régulateur irlandais. C'est aussi la deuxième plus grosse par un régulateur numérique en Europe après celle de 746 millions d'Euros contre Amazon en juillet au Luxembourg pour non respect de la réglementation européenne sur les données privées des internautes.A la suite de son enquête, l'autorité irlandaise de protection des données (DPC) "a infligé une amende de 225 millions d'euros à Whatsapp", a-t-elle indiqué dans un communiqué. La DPC "a également imposé un blâme" à cette filiale de Facebook, et l'a enjointe "de se mettre en conformité" avec les règles européennes.L'enquête démarrée en 2018 portait sur le respect par Whatsapp de ses obligations de transparence en vertu des règles européennes sur la protection des données (GDPR), notamment "sur le traitement des informations entre Whatsapp et d'autres compagnies de Facebook". Saisi notamment par l'autorité allemande après des modifications controversées des conditions d'utilisation de la messagerie, le régulateur européen, qui fédère les 27 autorités nationales de protection des données européennes, avait demandé en juillet à l'autorité irlandaise "de nouvelles investigations rapidement".L'instance européenne voulait notamment plus d'informations sur l'utilisation que Facebook veut faire des données de sa filiale, et notamment sur les possibilités de croisement liées à l'utilisation d'identifiants uniques.La DPC a relevé dans sa décision des "infractions de nature très sérieuse" et un "déficit très important d'information" fournies à l'utilisateur.Un porte-parole de Whatsapp a dénoncé jeudi "des sanctions tout à fait disproportionnées", indiquant que l'entreprise ferait appel.
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Amende record de 225 millions d'euros pour Whatsapp en Irlande
Whatsapp a été condamné jeudi par l'autorité numérique irlandaise à payer une amende record de 225 millions d'euros, à l'issue d'une enquête demandée par la Commission européenne concernant la protection des données personnelles.
Cette amende est la plus importante jamais infligée par le régulateur irlandais. C'est aussi la deuxième plus grosse par un régulateur numérique en Europe après celle de 746 millions d'Euros contre Amazon en juillet au Luxembourg pour non respect de la réglementation européenne sur les données privées des internautes.
A la suite de son enquête, l'autorité irlandaise de protection des données (DPC) "a infligé une amende de 225 millions d'euros à Whatsapp", a-t-elle indiqué dans un communiqué. La DPC "a également imposé un blâme" à cette filiale de Facebook, et l'a enjointe "de se mettre en conformité" avec les règles européennes.
L'enquête démarrée en 2018 portait sur le respect par Whatsapp de ses obligations de transparence en vertu des règles européennes sur la protection des données (GDPR), notamment "sur le traitement des informations entre Whatsapp et d'autres compagnies de Facebook". Saisi notamment par l'autorité allemande après des modifications controversées des conditions d'utilisation de la messagerie, le régulateur européen, qui fédère les 27 autorités nationales de protection des données européennes, avait demandé en juillet à l'autorité irlandaise "de nouvelles investigations rapidement".
L'instance européenne voulait notamment plus d'informations sur l'utilisation que Facebook veut faire des données de sa filiale, et notamment sur les possibilités de croisement liées à l'utilisation d'identifiants uniques.
La DPC a relevé dans sa décision des "infractions de nature très sérieuse" et un "déficit très important d'information" fournies à l'utilisateur.
Un porte-parole de Whatsapp a dénoncé jeudi "des sanctions tout à fait disproportionnées", indiquant que l'entreprise ferait appel.
"Whatsapp est engagé dans la fourniture d'un service sécurisé et privé. Nous avons travaillé pour assurer que l'information que nous donnons est transparente et complète et nous continuerons de le faire", a-t-il ajouté.