https://fr.sputniknews.africa/20210827/violences-policieres-en-afrique-du-sud-enquete-sur-une-vingtaine-de-deces-durant-les-troubles-de-1046058525.html
Violences policières en Afrique du Sud: enquête sur une vingtaine de décès durant les troubles de juillet
Violences policières en Afrique du Sud: enquête sur une vingtaine de décès durant les troubles de juillet
Sputnik Afrique
Des policiers sud-africains font l'objet d’une enquête suite à une vingtaine de décès survenus durant les troubles sociaux qui ont secoué différentes régions... 27.08.2021, Sputnik Afrique
2021-08-27T13:26+0200
2021-08-27T13:26+0200
2021-11-23T16:57+0100
actualités
international
jacob zuma
afrique du sud
police
afrique
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/07e5/07/0d/1045870074_0:82:3160:1868_1920x0_80_0_0_2501f5d87c590a0e9e6b4e7afbde92d5.jpg
Elle a ajouté que les agents de police concernés sont suspectés d’avoir causé la mort d’individus en garde à vue ou durant des opérations menées dans le cadre des émeutes violentes et des pillages qui ont ravagé les deux provinces.En juillet dernier, l’Afrique du Sud a été secouée par des violences meurtrières et des émeutes sans précédent suite à l'emprisonnement de l’ex-president Jacob Zuma, reconnu coupable pour outrage à la justice.Le gouvernement provincial du KwZulu-Natal a décrété l'état de catastrophe en raison de l'ampleur des dommages économiques et humains causés par les émeutes violentes. Selon des chiffres officiels, l'Afrique du Sud a perdu, lors de ces évènements, plus de 50 milliards de rands (plus de 3 milliards de dollars).Le bilan humain a été également très lourd, avec pas moins de 330 personnes tuées, notamment à cause des bousculades qui ont eu lieu lors du pillage des centres commerciaux.
afrique du sud
afrique
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
2021
Actus
fr_FR
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/07e5/07/0d/1045870074_0:0:3160:1986_1920x0_80_0_0_3a6f27eaa785eb53128d99560b3d3eff.jpgSputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
actualités, international, jacob zuma, afrique du sud, police, afrique
actualités, international, jacob zuma, afrique du sud, police, afrique
Violences policières en Afrique du Sud: enquête sur une vingtaine de décès durant les troubles de juillet
13:26 27.08.2021 (Mis à jour: 16:57 23.11.2021) Des policiers sud-africains font l'objet d’une enquête suite à une vingtaine de décès survenus durant les troubles sociaux qui ont secoué différentes régions du pays en juillet dernier, ont révélé vendredi les autorités sud-africaines.
«Vingt-six décès dus à l'action de la police sont sous investigation, dont 17 dans la province de KwaZulu-Natal et neuf à Gauteng», a souligné la Direction indépendante des enquêtes policières (Ipid).
Elle a ajouté que les agents de police concernés sont suspectés d’avoir causé la mort d’individus en garde à vue ou durant des opérations menées dans le cadre des émeutes violentes et des pillages qui ont ravagé les deux provinces.
«L’Ipid a enregistré un total de 74 cas de violences policières, dont 61 au KwaZulu-Natal et 13 à Gauteng. Il s’agit de 25 cas d'agression, 17 plaintes de décharge d'arme à feu et deux cas de torture par des agents du Service de police sud-africaine (SAPS) ou des policiers municipaux», a souligné la même source.
En juillet dernier, l’Afrique du Sud a été secouée par des violences meurtrières et des émeutes sans précédent suite à l'emprisonnement de l’ex-president Jacob Zuma, reconnu coupable pour outrage à la justice.
Le gouvernement provincial du KwZulu-Natal a décrété l'état de catastrophe en raison de l'ampleur des dommages économiques et humains causés par les émeutes violentes. Selon des chiffres officiels, l'Afrique du Sud a perdu, lors de ces évènements, plus de 50 milliards de rands (plus de 3 milliards de dollars).
Le bilan humain a été également très lourd, avec pas moins de 330 personnes tuées, notamment à cause des bousculades qui ont eu lieu lors du pillage des centres commerciaux.