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Vaccination obligatoire des soignants: un infirmier syndicaliste se révolte contre «le système répressif» - vidéo
Vaccination obligatoire des soignants: un infirmier syndicaliste se révolte contre «le système répressif» - vidéo
Sputnik Afrique
L’exécutif, par la voix du Premier ministre, déclare une fois de plus sa fermeté dans la mise en place d’une vaccination obligatoire pour le corps médical. 27.08.2021, Sputnik Afrique
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Le gouvernement en remet une couche sur l’obligation vaccinale. Jean Castex a pris la parole pour assurer que l’exécutif ne reculerait pas et comptait mettre en place des sanctions contre les soignants non vaccinés à partir du 15 septembre, comme prévu.Au micro de Sputnik, Éric Tricot, infirmier spécialisé en anesthésie à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, délégué syndical SUD Santé, se révolte contre cette «communication délétère et anxiogène» du gouvernement et la «répression financière et administrative».Le syndicaliste se tient prêt à entrer en négociations avec l’administration hospitalière pour permettre aux soignants de remplir l’obligation vaccinale sans pertes financières et morales. En première ligne de la pandémie de Covid-19 et parmi les premiers soignants à se faire vacciner, l’infirmier déplore néanmoins «l’abandon des gestes barrières».
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Vaccination obligatoire des soignants: un infirmier syndicaliste se révolte contre «le système répressif» - vidéo
18:10 27.08.2021 (Mis à jour: 16:09 19.11.2021) L’exécutif, par la voix du Premier ministre, déclare une fois de plus sa fermeté dans la mise en place d’une vaccination obligatoire pour le corps médical.
Le gouvernement en remet une couche sur l’obligation vaccinale. Jean Castex a pris la parole pour assurer que l’exécutif ne reculerait pas et comptait mettre en place des sanctions contre les soignants non vaccinés à partir du 15 septembre, comme prévu.
Au micro de Sputnik, Éric Tricot, infirmier spécialisé en anesthésie à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, délégué syndical SUD Santé, se révolte contre cette «communication délétère et anxiogène» du gouvernement et la «répression financière et administrative».
Le syndicaliste se tient prêt à entrer en négociations avec l’administration hospitalière pour permettre aux soignants de remplir l’obligation vaccinale sans pertes financières et morales. En première ligne de la pandémie de Covid-19 et parmi les premiers soignants à se faire vacciner, l’infirmier déplore néanmoins «l’abandon des gestes barrières».
«Je suis vraiment écartelé par cette situation en tant que soignant et en tant que syndicaliste. La vaccination était la seule thérapie qu’on avait face à cette pandémie, elle avait ce côté positif. Ils [les communicants du gouvernement, ndlr] l’ont complètement diabolisée», assure Éric Tricot.