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Vaccins: faut-il vraiment s’inquiéter des effets secondaires? Jacques Sapir et Philippe Murer en débattent
Vaccins: faut-il vraiment s’inquiéter des effets secondaires? Jacques Sapir et Philippe Murer en débattent
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La France a déjà injecté une dose à près de 71% de sa population. Une partie des Français s’inquiète néanmoins des effets secondaires des vaccins, notamment... 26.08.2021, Sputnik Afrique
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«La pharmacovigilance au niveau mondial sur ces vaccins contre le Covid est probablement ce que l’on a fait de mieux», assure Jacques Sapir à notre micro. L’économiste entame devant nos caméras sa deuxième querelle avec son collègue Philippe Murer. Au moment où le cap des 5 milliards d’inoculations administrées dans le monde vient d’être franchi, les deux intellectuels souverainistes discutent avec fermeté du «manque de recul» pointé par certains scientifiques au sujet des vaccins contre le Covid. Philippe Murer, de son côté privilégie l’extrême prudence. La pharmacovigilance est, selon lui, défaillante et le signalement des cas de décès ou d’accidents post-injection sous-estimé. Philippe Murer n’en démord pas pour autant. Les dangers potentiels, selon lui, pèsent trop lourd dans la balance bénéfices-risques. «Surtout que l’on dispose depuis un an et demi d’un surplus de traitements comme l’ivermectine ou l’hydroxychlroquine», ajoute-t-il. Face à lui, Jacques Sapir rappelle avec une pointe d’agacement les conclusions de la littérature scientifique internationale en la matière à l’exemple des travaux de la revue Cochrane qui démontrent l’inefficacité de ces deux médicaments.À ne pas manquer vendredi [à 17h], la dernière partie de cet échange où nos deux invités débattront du mouvement antipass sanitaire et de son avenir.
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Vaccins: faut-il vraiment s’inquiéter des effets secondaires? Jacques Sapir et Philippe Murer en débattent
17:19 26.08.2021 (Mis à jour: 16:09 19.11.2021) La France a déjà injecté une dose à près de 71% de sa population. Une partie des Français s’inquiète néanmoins des effets secondaires des vaccins, notamment sur le long terme. Une méfiance légitime ou qui n’a pas lieu d’être? Nos deux invités Jacques Sapir et Philippe Murer ont poursuivi leur débat.
«La pharmacovigilance au niveau mondial sur ces vaccins contre le Covid est probablement ce que l’on a fait de mieux», assure Jacques Sapir à notre micro. L’économiste entame devant nos caméras sa deuxième querelle avec son collègue Philippe Murer. Au moment où le cap des 5 milliards d’inoculations administrées dans le monde vient d’être franchi, les deux intellectuels souverainistes discutent avec fermeté du «manque de recul» pointé par certains scientifiques au sujet des vaccins contre le Covid. Philippe Murer, de son côté privilégie l’extrême prudence. La pharmacovigilance est, selon lui, défaillante et le signalement des cas de décès ou d’accidents post-injection sous-estimé.
«Les premières injections d’ARNm datent de 2002 et remontent à 2008 dans un cadre vaccinal. On a vu qu’il n’y avait pas d’effets à long terme sur 20 ans, on a du recul», rétorque Jacques Sapir.
Philippe Murer n’en démord pas pour autant. Les dangers potentiels, selon lui, pèsent trop lourd dans la balance bénéfices-risques. «Surtout que l’on dispose depuis un an et demi d’un surplus de traitements comme l’ivermectine ou l’hydroxychlroquine», ajoute-t-il. Face à lui, Jacques Sapir rappelle avec une pointe d’agacement les conclusions de la littérature scientifique internationale en la matière à l’exemple des travaux de la revue Cochrane qui démontrent l’inefficacité de ces deux médicaments.
À ne pas manquer vendredi [à 17h], la dernière partie de cet échange où nos deux invités débattront du mouvement antipass sanitaire et de son avenir.