Selon le quotidien économique, la décision de l'Allemagne d'acheter aux Etats-Unis cinq avions P-8A Poseidon à Boeing pour 1,43 milliard d'euros serait à l'origine de ce retrait, même s'il s'agit selon Berlin d'une solution transitoire en attendant la mise en service du MAWS.
Selon La Tribune, Paris envisagerait désormais de concevoir son propre patrouilleur, qui serait développé sur la base de l'avion d'affaires Falcon 10X de Dassault Aviation en coopération avec Thales.