La Turquie de Recep Tayyip Erdogan devrait lancer, en ce mois de juin, la construction d’un projet d’envergure, le canal d’Istanbul.
Situé à quelques kilomètres à l’ouest du détroit du Bosphore, ce canal long d’environ 45 km sera censé désengorger le trafic des 56.000 navires qui franchissent le Bosphore chaque année. Il rapportera à la Turquie d’énormes recettes générées par le droit de passage de milliers de navires.
Mais les détracteurs du projet, opposants politiques ainsi que scientifiques, dénoncent d’éventuels effets catastrophiques. Notamment pour l’environnement. Surtout, Ankara pourra autoriser plus rapidement des navires de guerre de pays étrangers à accéder à la mer Noire. Au grand dam de la Russie dont les intérêts pourraient être directement menacés.
Mais les détracteurs du projet, opposants politiques ainsi que scientifiques, dénoncent d’éventuels effets catastrophiques. Notamment pour l’environnement. Surtout, Ankara pourra autoriser plus rapidement des navires de guerre de pays étrangers à accéder à la mer Noire. Au grand dam de la Russie dont les intérêts pourraient être directement menacés.
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