Le puissant cyclone Tauktae (La langue du dragon) a frappé l'Inde, faisant 18 morts. Selon les services de sauvetage, 127 personnes sont actuellement portées disparues. Des centaines de milliers de personnes ont été évacuées. Sur la photo: une femme dans une rue inondée de Bombay.
De fortes rafales ont renversé des arbres, endommageant les lignes électriques et privant d'électricité des centaines de milliers d'habitants des États de l'ouest et du centre du pays.
Selon les services météorologiques, les rafales ont atteint la vitesse maximale de 210 km/h lundi 17 mai au soir. Sur la photo: un taxi sous les débris à Bombay.
Deux embarcations, transportant au total environ 400 personnes, sont en détresse au large de Bombay. L'évacuation est en cours mais, en raison des conditions météorologiques, seulement 177 personnes ont été évacuées. Sur la photo: des pêcheurs en mer d'Arabie au large de Bombay.
En raison de la catastrophe, plusieurs aéroports ont été fermés, y compris l'aéroport international Sardar-Vallabhbhai-Patel dans le Gujarat. Sur la photo: évacuation de la population dans l'État du Gujarat.
Le cyclone s'affaiblit progressivement, mais de fortes pluies sont attendues dans la plupart des régions indiennes dans les jours à venir, en particulier dans les États du Gujarat et du Maharashtra. Sur la photo: le personnel de la Force nationale d'intervention en cas de catastrophe prévient les habitants de l'État du Gujarat de l'arrivée du cyclone Tauktae et les invite à évacuer.
En termes de force du vent, Tauktae est considéré par les météorologues comme le cyclone le plus puissant des deux dernières décennies. Sur la photo: des habitants de Bombay dans une rue inondée lors du passage du cyclone.
Des femmes se cachent sous un abri lors du passage du cyclone à Bombay.
Fil d’actu
0
L'accès au chat est bloqué pour non-respect du règlement .
Vous pourrez à nouveau participer dans:∞.
Si vous n'êtes pas d'accord avec ce blocage, utilisez notre formulaire de contact
Les débats sont terminés. Il est possible de participer aux discussions dans les 24 heures suivant la publication de l'article.
