Le cadavre mutilé d’un bovin de deux ans a été découvert vendredi 2 octobre au matin dans un parc situé dans le nord de la Meuse, rapporte Le Républicain lorrain.
Une autopsie a été demandée par le procureur de la République de Verdun. Les gendarmes de la communauté de brigades d’Étain sont chargés de l’enquête pour «acte de cruauté sur animaux».
Un mystère judiciaire
Depuis cet été, la France est touchée par une mystérieuse vague de mutilation touchant les équidés (chevaux, juments, poneys), de toute race et de tout âge. La valeur financière ne semble pas être un critère puisqu’il s'agit aussi bien de chevaux de particuliers que d'éleveurs professionnels.
Les mutilations constatées sur les bêtes mortes portent principalement sur l'oreille droite. Souvent profondes et précises, elles font penser à une forme de signature.