C’est un effet direct du confinement et de la crise du coronavirus qui a remis à la mode les applications de visioconférence et de chat vidéo.
Comme le précise Tinder, cette fonctionnalité est déployée en phase de test aux États-Unis, au Brésil, en Australie, en Espagne, en Italie, en France, au Vietnam, en Indonésie, en Corée, à Taiwan, en Thaïlande, au Pérou et au Chili.
Les utilisateurs qui ont matché pourront discuter en «face à face» en toute sécurité. Et l’appel vidéo sera possible si les deux l’acceptent.
Comme l’indique Tinder, l’écran de leur téléphone sera alors divisé en deux pour afficher les deux personnes.
Les règles à suivre
Avant de lancer un appel vidéo, les utilisateurs qui ont matché devront accepter de garder la discussion «PG», autrement dit aucune nudité ni contenu sexuel ne devra être affiché, aucune incitation à la violence, à des activités illégales ni aucun discours de haine ne devra être partagé. Pourtant, Tinder n’indique pas clairement si une quelconque technologie s’assure que les utilisateurs respectent ces règles.
À la fin d’un appel vidéo, ils pourront signaler si leur interlocuteur ou interlocutrice s’est mal comporté(e) et indiquer s’ils souhaitent que cette personne les recontacte ou non.