Quelques dizaines de personnes se sont rassemblées samedi 27 juin devant la préfecture de police de Paris à l'appel de l'association des femmes de policiers pour soutenir la profession face aux accusations de racisme et de violence illégitime généralisée dans ses rangs.
«À force de malmener notre police, de l’accuser de tous les mots, d’être raciste, violente, on saura que c’est la République qu’on a attaquée en attaquant les policiers», a annoncé au micro de Sputnik Perrine Sallé, porte-parole de l’association Femmes des forces de l’ordre en colère.
#SputnikVidéo | @Perrine_Salle, porte-parole de l'Association 𝙁emmes des 𝙁orces de l'𝙊rdre en 𝘾olère @_FFOC_, a donné la raison pour laquelle elles ont décidé de descendre dans les rues de la capitale pic.twitter.com/X3jRTZgCy1
— Sputnik France (@sputnik_fr) June 27, 2020
Alors que l’action vise à «réaffirmer les valeurs de la République», Perrine Sallé a souligné que «les policiers sont aujourd’hui le symbole même de la République, ils sont là pour nous protéger, nous secourir, nous sécuriser.»
#SputnikVidéo | Ce 27 juin à #Paris, @_FFOC_ a manifesté place Louis #Lépine pour exprimer son mécontentement sur le traitement réservé aux fonctionnaires de la profession en France@ZohraBitan @Perrine_Salle pic.twitter.com/tYDZa0Q4NZ
— Sputnik France (@sputnik_fr) June 27, 2020
«On est là pour contrecarrer tout ce qu'on entend en ce moment, "police raciste, police violente" [....] Non! Tous nos policiers ne sont pas racistes, et ne sont pas violents», a interpellé à la tribune Aurélie Laroussie, présidente du FFOC, citée par l’AFP.