Une habitante de Montpellier, 30 ans, a déclaré dans un tweet, «avoir été draguée» par l’agent en charge de la distribution des masques organisé par la ville, raconte 20 Minutes. Les Montpelliérains peuvent en effet recevoir gratuitement des masques en tissu après avoir pris rendez-vous et laissé leurs coordonnées sur un site ad hoc.
Le maire réagit
Indignée par cette utilisation des données personnelles collectées par un service public, la femme a interpellé sur Twitter le maire de Montpellier, Philippe Saurel, qui lui a répondu, également sur le réseau social: «Après avoir échangé avec les services concernés et en relation avec les services juridiques de la ville, j’ai diligenté une enquête administrative».
«Toutes les suites seront données», assure-t-il.