https://fr.sputniknews.africa/20200416/attaquee-par-un-sanglier-dans-les-bois-elle-nalerte-pas-les-secours-par-peur-detre-verbalisee-1043578842.html
Attaquée par un sanglier dans les bois, elle n’alerte pas les secours par peur d’être verbalisée
Attaquée par un sanglier dans les bois, elle n’alerte pas les secours par peur d’être verbalisée
Une jeune femme, qui a été chargée par un sanglier dans un bois du Lot, n’a pas appelé les secours car elle n’avait pas d’attestation dérogatoire. 16.04.2020, Sputnik Afrique
2020-04-16T20:41+0200
2020-04-16T20:41+0200
2022-11-16T21:04+0100
/html/head/meta[@name='og:title']/@content
/html/head/meta[@name='og:description']/@content
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/103848/75/1038487558_135:0:1784:932_1920x0_80_0_0_12a73fa0627f742ac740a9bad113a7ea.jpg
france
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
2020
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
Actus
fr_FR
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
cinquième semaine de confinement en france, société, actualités, france
cinquième semaine de confinement en france, société, actualités, france
Attaquée par un sanglier dans les bois, elle n’alerte pas les secours par peur d’être verbalisée
20:41 16.04.2020 (Mis à jour: 21:04 16.11.2022)
S'abonner
Une jeune femme, qui a été chargée par un sanglier dans un bois du Lot, n’a pas appelé les secours car elle n’avait pas d’attestation dérogatoire.
Une randonnée sans attestation a mal tourné pour une habitante de Gourdon, dans le Lot, qui a été attaquée par une laie dans un bois, relate La Dépêche.
Selon les dires de la jeune femme, l’animal, qui était accompagné de ses marcassins au moment de leur rencontre, a probablement eu peur qu’elle leur fasse du mal.
«Il m’a chargée. J’ai pris la fuite. Une centaine de mètres plus loin j’ai trébuché et je suis tombée dans un petit ravin à environ six mètres en contrebas du sentier», raconte-t-elle.
«J’ai tout faux et je le sais»
Blessée à la cheville, la randonneuse n’a toutefois pas alerté les secours de peur d’être verbalisée pour ne pas avoir d’attestation dérogatoire en plein confinement.
Consciente de ses erreurs «impardonnables», elle se confond en excuses: «J’ai tout faux et je le sais [...]. En randonnant dans les bois, j’ai peu de chance d’y trouver un gendarme, voilà pourquoi j’ai été aussi insouciante. J’ai triché, je ne vais pas le nier», avoue la jeune femme dont La Dépêche ne révèle pas le nom pour des raisons évidentes.
