Un homme d’une trentaine d’années a été interpellé le 8 avril pour des violences conjugales à son domicile. Il s’est de plus avéré qu’il avait une discothèque clandestine dans le sous-sol de sa maison, relate Midi Libre.
Placé en garde à vue, il a reconnu les faits ainsi que d’autres cas de violences commis depuis plusieurs années.
Connu de la justice, il faisait en outre l’objet d’investigations depuis janvier pour travail dissimulé.
D’après la source, il aurait ainsi créé une discothèque illégale dans le sous-sol de sa maison et posté sur Internet des photos de son club, sans déclaration ni règle de sécurité.
Un club caché sous la maison
Lors de la perquisition, les enquêteurs ont ainsi découvert une boîte de nuit de 140 m carrés, avec quatre salles aménagées et d’une capacité de cent personnes. Ils ont saisi plus de 19.000 euros de matériel.
D’après le média, les investigations ont révélé que le trentenaire avait aussi organisé des soirées illégales fin mars, durant le confinement.
Il a été déféré le 10 avril devant le substitut du procureur de la République d’Alès. Il sera jugé pour violences conjugales en septembre et a été incarcéré pour 26 mois à la maison d’arrêt de Nîmes. L’enquête concernant le club clandestin est toujours en cours.