Les internautes sont très nombreux à relayer sur les réseaux sociaux la photo d’un chat en Chine dont les propriétaires ont apparemment tout fait pour le protéger contre le nouveau coronavirus qui continue de se propager dans le monde.
🦠 ÉPIDÉMIE - En #Chine, photo incroyable d’un chat équipé d’un masque de protection afin d’éviter la propagation du #coronavirus. Pour le moment, aucune information n’a confirmé que les animaux pouvaient attraper le #virus. (@russian_market) #nCoV2019 #Wuhan #CoronaViruesue pic.twitter.com/fICmRArFPS
— Conflits (@Conflits_FR) February 9, 2020
Ils ont choisi de mettre à leur chat un masque antivirus en ayant soin – le masque étant trop grand pour le petit félin – de découper des trous pour les yeux.
🦠 ÉPIDÉMIE - Une autre photo du chat 🐱 qui porte un masque en #Chine pour éviter de propager le #coronavirus. (Pas d’infos qui confirment que les animaux peuvent attraper le #virus) (@russian_market) #nCoV2019 #coronavius pic.twitter.com/FWyHxvQBOZ
— Conflits (@Conflits_FR) February 9, 2020
La photo a fait son apparition le 9 février sur le site chinois de microblogage Sina Weibo. Il faut dire que ce n’est pas la première photo du genre, mais c’est celle du chat masqué qui a connu une popularité particulière sur les réseaux.
🦠 ÉPIDÉMIE - En plus des chats, les chiens sont aussi protégés du coronavirus en Chine. Ça ne doit pas être très confortable 😆 (@StrategicNews2) pic.twitter.com/u4yQRMN49k
— Rachid Lamor (@lamor_rachid) February 11, 2020
Le matou, voudrait-il prendre des précautions après avoir vécu huit autres vies mouvementées?
La décision d’autres propriétaires
Toutefois, certains animaux de compagnie ont eu moins de chance. Ainsi, des habitants ont défenestré les leurs, estimant qu’ils pourraient transmettre le virus.
Plusieurs chats et chiens ont été retrouvés morts.
L’épidémie
Selon le dernier bilan des autorités chinoises, le coronavirus 2019-nCoV a fait 1.017 morts, tandis que plus de 42.700 personnes sont contaminées en Chine. Hors du pays, 400 personnes infectées ont été identifiées, tandis qu’un responsable de l’OMS a déclaré que ce ne pourrait être que «la partie émergée de l’iceberg».
Entretemps, le virus a atteint le dernier continent où il n’avait pas encore pénétré. Le ministère russe des Affaires étrangère a annoncé ce 11 février que des cas de pneumonie virale avaient été détectés en Afrique.
Un professeur de l’université de Hong Kong a pour sa part estimé, dans une interview accordée au Guardian, que les «deux tiers de la population mondiale» pourraient être touchés par l’épidémie.