Mère de trois enfants, Sibeth Ndiaye a avoué à Jean-Jacques Bourdin que si elle habitait près de l’usine Lunrizol à Rouen, elle aurait eu «des inquiétudes terribles». Cependant, elle assure qu’elle serait restée en ville.
Si elle vivait à Rouen, Sibeth Ndiaye assure qu'elle serait restée dans la ville après l'incendie de l'usine Lubrizol #BourdinDirect pic.twitter.com/qchmza0eRy
— BFMTV (@BFMTV) October 3, 2019
«Je serais restée parce que je suis quelqu’un d’un peu rationnel et j’essaie de faire confiance dans les gens qui savent, […] des experts», a-t-elle notamment déclaré.
À la question de M.Bourdin de savoir si elle resterait si ses enfants vomissent et éprouvent des difficultés respiratoires, Mme Ndiaye a expliqué que s’il y a des troubles graves il faut s’adresser aux médecins.
«On a regardé le nombre de passages aux urgences qu’il y avait eu du fait de gens qui se plaignaient de conséquences du panage de fumée ou de l’incendie, on a un peu plus d’une centaine de personnes» en une semaine.
Et de souligner l’importance de la transparence et de l’information.