Une exposition de drones, pour la plupart américains, capturés ou abattus par l’armée iranienne, s’est ouverte à Téhéran, annoncent les médias.
The first exhibition of drones seized, was organized by the Iranian Aerospace Force IRGC in Tehran.
— ◢ (@aliifkl) September 21, 2019
The exhibition "Vultures on the Hunt" opens on September 22 and runs until October 7.
United States Israel Tehran pic.twitter.com/pCYJ4eAqoM
#Iran
— IWN (@A7_Mirza) September 21, 2019
This morning, for the first time, #IRGC unveiled a collection of captured drones in an exhibition in #Tehran.
Images: US MQ-1, Israeli Hermes, US RQ-7, ScanEagle
/1 pic.twitter.com/ttEYjDeTyb
Les visiteurs de l’exposition peuvent notamment voir des drones de reconnaissance et de combat RQ-11A Raven, Desert Hawk I/III, Scan Eagle, RQ-7 A Shadow 200, RQ-4 Sentinel, Aerosonde, MQ-18 Predator A, ainsi qu’un Hermes 200 israélien et un Phoenix britannique.
Iranian authorities are boasting that, "for the first time", a captured Western-made AAI Aerosonde drone aircraft is being displayed at Iran's Holy Defense Museum in the city of Tehran. pic.twitter.com/ZWCDo8KJWk
— Evan Kohlmann (@IntelTweet) September 21, 2019
#Iran #Drone #LockheedMartin RQ-170 qui a été capturé en 2011#UnitedStates #Tehran #IRGC pic.twitter.com/UjyRJ11EK7
— Rebecca Rambar (@RebeccaRambar) September 21, 2019
Selon les experts, la plupart des engins sans pilote ont été capturés au moyen de systèmes de guerre électronique.
Le drone censé avoir été détruit en juin, n’est pas détruit
La plus grande surprise de l’exposition est le drone RQ-4 Global Hawk, que l’armée iranienne a déclaré avoir détruit le 20 juin par une batterie Khordad 3 au-dessus du Golfe persique.
Global Hawk siluette painted on Iranian "3rd khordad" Air defense system as kill mark on an exhibition in Tehran today. Also on display are US drones in including Predator and RQ 170. pic.twitter.com/caL3Fin7WK
— Tal Inbar (@inbarspace) September 21, 2019
L’incident a fait monter encore plus la tension entre l’Iran et les États-Unis. Téhéran a affirmé que l’engin militaire avait violé son espace aérien, alors que Washington indiquait que le drone effectuait un vol d’observation au-dessus des eaux internationales. Donald Trump avait alors qualifié la destruction du drone de «très grande erreur de la part de l’Iran».