La préfecture d’Île-de-France a dissipé les craintes relatives à la pollution de l’eau potable au tritium en publiant un démenti formel sur Twitter.
«Démenti sur la présence de tritium dans l’eau potable… L’eau du robinet peut donc être consommée sans restriction», a tweeté la préfecture.
Démenti sur la présence de #tritium dans l'eau potable : aucun arrêté préfectoral n'a été pris par le préfet de Paris.
— Préfet d'Île-de-France, préfet de Paris (@Prefet75_IDF) July 19, 2019
Les valeurs observées à ce jour ne montrent pas de risque pour la santé publique @ARS_IDF .
💧L’eau du robinet peut donc être consommée sans restriction.
«Boire l'eau de Paris ne présente pas de risque pour la santé, le tritium est présent à des doses infinitésimales dans l'eau, sans le moindre risque à court, moyen et long terme», a souligné de son côté, Eau de Paris, également sur Twitter.
[Information] Boire l’eau de Paris ne présente pas de risque pour la santé, le tritium est présent à des doses infinitésimales dans l’eau, sans le moindre risque à court, moyen et long terme. Voici les mesures pour la ville de @Paris en matière de #Tritium https://t.co/D642Tw6l7L pic.twitter.com/gI4ZWwoJRX
— Eau de Paris 🚰 (@eaudeparis) July 19, 2019
L’ACRO a cependant reconnu qu’«aucune valeur ne dépasse le critère de qualité de 100 Becquerel par litre» fixé par les autorités sanitaires.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande pour sa part «une valeur guide de 10.000 Bq/L pour le tritium dans l’eau de boisson, à considérer en cas de consommation permanente de l’eau».