Après avoir accusé son ex-compagnon Adil Rami de violences, Pamela Anderson a posté sur son site Internet des photos et une vidéo qu’elle a présentées comme des preuves de violences subies de la main de son ex.
Ces images ont été prises dans un hôpital où la star hollywoodienne s’est fait soigner en février 2019. Elle a déclaré avoir dû aller consulter un médecin six mois après que le défenseur de l’Olympique de Marseille lui a «écrasé» les deux mains lors d’une dispute. La douleur persistante était si forte qu’elle ne pouvait plus écrire ni ouvrir une bouteille d’eau, précise-t-elle.
Pamela Anderson posts video of her hands being bandaged https://t.co/jM8yqtEDVv via @DailyMailCeleb
— Donna preston (@geekonline) 3 juillet 2019
Dans la vidéo, l’actrice montre sa main qu’un médecin est en train de bander. Cependant, la facture des soins médicaux présente un devis de traitement pour de l’arthrose. Pamela Anderson a expliqué qu’elle avait sciemment déclaré aux médecins qu’elle souffrait plutôt d’arthrite pour dissimuler l’acte de violence à l’origine de cette blessure.
La vedette d’Alerte à Malibu a ajouté que le sportif avait menacé de lui «casser les jambes» à la suite de leur rupture et l’avait harcelée par téléphone et par voie électronique.
Auparavant, le mardi 25 juin, Pamela Anderson avait mis fin à sa relation amoureuse avec l’international français Adil Rami. Sur sa page Instagram, la star hollywoodienne a posté une photo commune, l’accompagnant d’une longue légende dans laquelle elle a dévoilée ce qui l’avait poussée à mettre un terme à cette liaison qui a duré deux ans.
Elle y a également annoncé son intention de quitter la France et a confié qu’Adil Rami avait entrepris de nombreuses tentatives pour la récupérer, mais qu’elle ne les avait pas acceptées. En réponse, elle a embauché un garde du corps car son ex-compagnon lui aurait fait peur en la menaçant.
Le 29 juin, Adil Rami a qualifié ses accusations de violences de «complètement fausses». Selon lui, la star américaine voulait le «toucher» puisqu’elle savait que son «engagement pour la cause des violences faites aux femmes est quelque chose de vraiment important» pour lui.