Une situation au premier regard insolite qui a été prise très au sérieux par les autorités après plus d’une dizaine d’attaques de goélands sur des drones de la police dans la capitale française, rapportent les médias locaux.
Selon Le Parisien, le télépilote n’a eu d’autre choix que de faire atterrir son engin pour éviter tout risque de collision. Bien qu’aucun crash de drone n’ait eu lieu, leurs opérateurs sont invités à la plus grande vigilance.
Le quotidien tient à rappeler que les engins volant de la PPP évoluent dans un «brouillard législatif»: censés surveiller la voie publique ou des opérations de maintien de l’ordre, ils servent également à la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) lors d'opérations avec prise d’otage avant de donner l’assaut.