Au cours des derniers mois, au moins deux phoques décapités ont été découvert à Concarneau et à Trégunc (Finistère), rapporte France 3. Le maréchal des logis-chef Gautier Paris, qui a déjà ouvert une enquête sur ces actes de barbaries, avance que «les phoques ont été décapités volontairement à l'aide d'un objet tranchant».
Le deuxième phoque a été retrouvé le 10 mars par un promeneur dans l'anse du Cabellou. Par ailleurs, un autre phoque mutilé et dans un état de décomposition avancé a été découvert huit jours plus tard par une promeneuse, toujours dans le Finistère.
Concernant les coupables présumés, Gautier Paris avance qu'«il peut s'agir de pêcheurs ou de plaisanciers qui ont pris un phoque dans leurs filets».
Le délit de destruction non autorisée d'espèces animales protégées est une infraction dont la peine minimale est une amende de 3.750 euros.