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«J’aime WikiLeaks»: Assange arrêté, la Maison-Blanche parle d’une simple blague de Trump
«J’aime WikiLeaks»: Assange arrêté, la Maison-Blanche parle d’une simple blague de Trump
Le Président ironisait lorsqu’il a fait sa déclaration d’amour à WikiLeaks en octobre 2016, a affirmé la Maison-Blanche. Néanmoins, l’administration Trump est... 15.04.2019, Sputnik Afrique
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«J’aime WikiLeaks»: Assange arrêté, la Maison-Blanche parle d’une simple blague de Trump
15:23 15.04.2019 (Mis à jour: 15:26 15.04.2019)
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Le Président ironisait lorsqu’il a fait sa déclaration d’amour à WikiLeaks en octobre 2016, a affirmé la Maison-Blanche. Néanmoins, l’administration Trump est la seule qui examine sérieusement l’affaire Assange, a déclaré Sarah Sanders à Fox News.
Donald Trump a plaisanté en parlant de son «amour» pour WikiLeaks pendant sa campagne électorale en octobre 2016, a déclaré la porte-parole de la Maison-Blanche, Sarah Sanders.
«Regardez bien, le Président a plaisanté pendant la campagne 2016, nous prenons cela très au sérieux», a-t-elle affirmé, en direct sur la chaîne de télévision Fox News.
Selon Mme Sanders, l'administration Trump prête beaucoup d'attention à l'arrestation du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange: «Nous sommes les seuls à nous préoccuper de ce processus et à faire quelque chose pour résoudre le problème [de l'extradition d'Assange, ndlr]».
Les sentiments de Trump envers ce site avait été expliqué à l'époque par le fait que WikiLeaks avait publié des e-mails d'Hillary Clinton, son adversaire à l'élection présidentielle de 2016.
Cependant, le jour de l'arrestation d'Assange, le Président américain a pris ses distances en déclarant aux journalistes ne rien savoir à ce sujet: «Je ne connais rien à WikiLeaks. Ce n'est pas mon truc. Je suis au courant que c'est lié d'une certaine manière à Julian Assange et j'ai vu ce qui s'est passé avec lui».
Lanceur d'alerte et fondateur du site WikiLeaks,
Julian Assange a été arrêté le 11 avril par la police britannique à l'ambassade d'Équateur à Londres. Il a été livré dans la journée à la Cour des magistrats de Westminster.
Le vice-Président américain, Mike Pence, a affirmé le 12 avril que le département américain de la Justice voulait obtenir l'extradition d'Assange et traduire ce dernier en justice. Il a souligné que le Président Trump n'avait jamais exprimé son soutien au projet WikiLeaks, «organisation impliquée dans la diffusion d'informations classifiées par les États-Unis».