Pour sa part, le secrétaire général des Nations unies a déclaré qu'il quittait la Libye «le cœur lourd et profondément inquiet».
I leave Libya with a heavy heart and deeply concerned. I still hope it is possible to avoid a bloody confrontation in and around Tripoli.
— António Guterres (@antonioguterres) 5 avril 2019
The UN is committed to facilitating a political solution and, whatever happens, the UN is committed to supporting the Libyan people.
«J'espère toujours qu'il est possible d'éviter une confrontation sanglante à Tripoli et dans sa région», a déclaré M.Guterres tout en soulignant l'attachement de l'Onu à une solution politique de la crise en Libye.
La Libye est plongée dans le chaos depuis le renversement du gouvernement et le meurtre de Mouammar Kadhafi en 2011. Le pays est divisé entre plusieurs entités rivales, avec notamment la présence à Tripoli d'un gouvernement d'union nationale (GNA) de Fayez el-Sarraj, soutenu par l'Onu et l'UE, et dans l'est, d'un parlement élu par le peuple et appuyé par l'Armée nationale libyenne du maréchal Haftar.