Un réseau de neurones artificiels mis en place par des chercheurs de l'université de Nottingham a analysé des données de santé publique sur une décennie entre 2006 et 2016 et concernant plus 500.000 Britanniques.
Les analyses réalisées par des robots ont constaté que des facteurs dont le sexe, l'âge, le tabagisme et un diagnostic de cancer antérieur étaient les principaux facteurs permettant d'évaluer la probabilité de décès prématuré d'un individu.
Cette nouvelle étude démontre que l'apprentissage automatique peut être utilisé pour prédire avec précision l'évolution de la mortalité dans le temps. Un apprentissage qui s'avère même plus précis pour prédire la mort que les modèles utilisés par les humains. Cependant, il est prématuré de dire qu'un ordinateur puisse déjà agir comme médecin.