«Elle croit fermement au Brexit et à la liberté d'expression. Elle déteste le politiquement correct», c'est ainsi que Catherine Blaiklock se décrit sur son propre site web.
Activiste politique formée à Oxford et ancienne porte-parole chargée de l'économie au sein du parti souverainiste UKIP, qu'elle-même et Nigel Farage ont quitté récemment, Catherine Blaiklock écrit sur les pages de son blog qu'il est impossible de communiquer avec une personne une personne vêtue d'une burqa.
«Tout d'abord, je ne peux ni parler ni avoir d'interaction humaine normale avec quiconque en burqa. Ils pourraient aussi bien être dans une pièce voisine ou dans une tente. Je suis une personne cordiale et je m'intéresse à la vie des gens. Je demande donc toujours aux livreurs, aux employés de supermarchés ou aux autres personnes: À quelle heure finissez-vous? Êtes-vous occupé? C'est un travail difficile? Êtes-vous fatigué? Une conversation humaine normale. Même au Népal, avec des porteurs qui parlent une autre langue, je communique par signes ou expressions faciales. Je peux moins communiquer avec quelqu'un en burqa qu'avec mon chat», a-t-elle écrit.
Mme Blaiklock, grande partisane du Brexit, a fait équipe avec Nigel Farage plus tôt en janvier pour enregistrer un parti auprès de la Commission électorale qui sera prêt à «contester toute élection générale anticipée ou les élections locales en Angleterre en mai».