Les Gilets jaunes ont organisé une veillée de soutien à Olivier, un pompier Gilet jaune blessé à la tête à Bordeaux suite à un tir de LBD.
«Les Gilets jaunes sont présents devant l'hôpital Pellegrin à Bordeaux, en soutien à Olivier, dans le coma après un tir de flashball reçu à la tête samedi dernier», a tweeté un compte consacré aux manifestations des Gilets jaunes.
Les #GiletsJaunes sont présents devant l’hôpital Pellegrin à #Bordeaux, en soutien à Olivier, dans le coma après un tir de flashball reçu à la tête samedi dernier. pic.twitter.com/jYkBVaC2dq
— Gilets Jaunes Paris #ActeX✌️#ONLR #GiletsJaunes (@GiletsJaunesGo) January 14, 2019
Veillée des gilets jaunes de gironde pour Olivier a Bordeaux devant le hôpital pellegrin le pompier père de 3 enfants qui a reçu un flash ballon dans la tête et une grenade dans le dos il est dans le coma…. pic.twitter.com/OQpBea1zzn
— Ludorian #JeSuisLépreux matricule 13937 GJ (@ludoriann) January 14, 2019
De plus, l'homme, plongé dans un coma artificiel, reçoit un grand nombre de messages de soutien postés sur les réseaux sociaux.
Soutien à Olivier ❤❤
— Julien Lacreuse (@JulienLACREUSE) January 15, 2019
De tout coeur avec vous et votre famille.
— Anna (@MissTrotinette) January 15, 2019
De par votre engagement chez nos amis pompiers et aussi parceque ce que vous vivez nous choque tous, vous mettez la lumière (enfin) sur tous les autres blessés grave de ce mouvement….Une pensée aussi pour tous ceux-là…
Courage 💕
Soutiens du grand est! Recueillons nous! 😔🙏 pic.twitter.com/yeDbfGQUgf
— Graoully ▽ن (@geofrance57) January 14, 2019
Un énorme soutien à Olivier et à sa famille, j'espère qu'il va se rétablir au plus vite.
— Isa (@fleurdelys296) January 15, 2019
Tout mon soutien à cet homme et mes pensées a sa famille. @CCastaner a dit: tout participant à une manifestation d'être considéré de facto comme un complice de ceux qui casseront et commettront des actes de violence.
— meyriam delaroute (@meyriam2001) January 15, 2019
Il était présent à une manif,il doit donc être jugé pic.twitter.com/3T2XEfpukx
Le préfet de Gironde et le parquet ont saisi l'IGPN (Inspection générale de la police nationale) après la diffusion de ces vidéos sur les réseaux sociaux.