Des centaines de noms de personnes présentées comme des policiers français ainsi que leurs adresses, numéros de téléphone, mails et spécialisations ont été rendus publics par des hackers du groupe Anonymous.
«La logique de l’État et du capital – châtiments et réclusion – doit être remplacée par le renoncement à l’oppression et à l’exploitation. Cet appel est un pas dans ce sens. Nous nous sommes réunis pour rompre la solitude et l’isolement. Solidarité avec les camarades qui endurent les répressions en France et dans d’autres régions du monde. La mémoire de nos camarades est ce qui maintient allumée la flamme de nos vies en perpétuelle rébellion», lit-on dans la déclaration publiée sur le site cyberguerrilla.org.
Près de 136.000 personnes ont participé à cet acte 4 en France, soit un nombre pratiquement équivalent à celui du 1er décembre. Au total, quelque 2.000 personnes ont été interpellées le 8 décembre, selon la place Beauvau.