«Nous avons indiqué à plusieurs reprises regretter la décision des États-Unis de se retirer du Plan global d'action conjoint. L'influence concrète [des sanctions, ndlr] sur l'économie allemande ne peut pas encore être prévue», a déclaré M.Seibert.
Il a ajouté que Berlin cherchait à l'heure actuelle les moyens de protéger les intérêts des entreprises allemandes.
«Nous suivons et analysons constamment la situation en contact avec nos partenaires européens. Nous étudions les possibilités de préserver la base économique de l'accord [iranien, ndlr] et de protéger nos entreprises», a souligné Steffen Seibert.
De nouvelles sanctions ciblant le secteur pétrolier iranien ont été introduites le 5 novembre. Les États-Unis ont ciblé plus de 700 personnes et organisations, dont des banques, des avions et des navires, dans la nouvelle liste de sanctions adoptées contre l'Iran, a annoncé lundi le département du Trésor dans un communiqué.