Toutes les 188 personnes se trouvant à bord du Boeing 737 de la compagnie aérienne Lion Air, qui s’est abîmé en mer au large de l'Indonésie, ont perdu la vie dans la catastrophe, a déclaré à Sputnik le porte-parole de l'Agence indonésienne de recherche et de sauvetage Basarnas.
«Il n’y a aucun survivant à la catastrophe du Boeing 737 de Lion Air», a déploré l’interlocuteur de Sputnik.
Parmi les passagers se trouvaient notamment 20 responsables du ministère indonésien des Finances, selon le journal The Jakarta Post.
🔴 De nombreux débris & nappes de kérosène découverts à 4 km du dernier point de contact du vol Lion Air #JT610.
— air plus news (@airplusnews) 29 octobre 2018
Aucun survivant au crash du Boeing 737 MAX8 reliant Jakarta à Pangkal Pinang, sur les iles Bangka, au large de Sumatra. pic.twitter.com/133foIOQ0r
Sindu Rahayu, directeur général de l'aviation civile au ministère des Transports, a déclaré dans un communiqué que l'avion transportait 178 passagers adultes, un enfant et deux bébés ainsi que deux pilotes et cinq personnels de cabine.
Un Boeing 737 de la compagnie indonésienne Lion Air qui transportait 188 personnes s’est abîmé lundi matin au large des côtes peu après son décollage de Jakarta. Le contact avec le contrôle aérien a été perdu vers 06h30 (00h30 à Paris), peu après que l’avion a demandé à revenir à l’aéroport de la capitale. L'appareil était à destination de Pangkal Pinang, une ville de l'île de Bangka, au large de Sumatra.
Selon la trajectoire du Boeing 737 Max 8 montrée par site de suivi des vols Flightradar, après son décollage sur un cap sud-ouest, l’appareil a largement viré sur 180 degrés pour mettre le cap au nord-est.
We're following reports that contact has been lost with Lion Air flight #JT610 shortly after takeoff from Jakarta.
— Flightradar24 (@flightradar24) 29 octobre 2018
ADS-B data from the flight is available at https://t.co/zNM33cM0na pic.twitter.com/NIU7iuCcFu
Un réservoir de carburant a été retrouvé cassé et explosé. Au-dessus du réservoir, il y avait une fuite, a expliqué à Sputnik le porte-parole de l'Agence nationale indonésienne de recherche et de sauvetage (Basarnas).