Le site explique que la législation en vigueur impose que l'État prenne en charge les dépenses liées aux processus de vote et de décompte des voix et couvre en partie les dépenses des campagnes électorales. À titre comparatif, le portail rappelle que le budget des élections locales de 2012 s'élevait à 31 milliards de dinars, bien que ce genre de consultation soit plus large que la présidentielle.
Le portail rappelle en outre que le gouvernement de la République démocratique du Congo a consacré en 2016 432 millions de dollars pour la tenue de dix scrutins, dont la présidentielle. Or, de l'autre côté de la Méditerranée, la France a affecté en 2012 un montant 437 millions d'euros aux élections présidentielles et législatives, «pas loin du coût estimé de la présidentielle algérienne de 2019», ajoute TSA sur un ton un peu plus consolant.