Il s'agit d'un missile «tueur de satellites», dont la maquette a été repérée fin septembre lors des essais d'un intercepteur russe MiG-31. Selon les sources de CNBC, cette arme est destinée à frapper les satellites de communications et de renseignement déployés en orbite terrestre basse, où le télescope spatial Hubble et la Station spatiale internationale se trouvent.
Les essais de ce missile lancés en septembre doivent se terminer prochainement, précise la chaîne. La seconde étape aurait lieu en 2019.
Auparavant, des militaires américains cités par des médias avaient fait savoir que le système de satellites de navigation GPS était vulnérable aux possibles attaques russes et chinoises de missiles et de laser. Parallèlement, en avril, le vice-Président américain Mike Pense avait déclaré que Washington s'efforcerait de dominer dans l'espace.