Nous vous invitons, grâce à ce diaporama réalisé par Sputnik, à faire une promenade nocturne dans le centre historique d’Alep.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaLa citadelle ancienne est illuminée par des projecteurs multicolores, le couvre-feu n’est plus nécessaire, la guerre s’étant terminée il y a deux ans.
La citadelle ancienne est illuminée par des projecteurs multicolores, le couvre-feu n’est plus nécessaire, la guerre s’étant terminée il y a deux ans.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaAlep s’est embellie depuis l’automne 2016. Des fontaines et les feux tricolores fonctionnent dans la ville, phénomène rare même à Damas.
Sur la photo: des habitants sur la place près de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: des habitants sur la place près de la citadelle d’Alep.
Alep s’est embellie depuis l’automne 2016. Des fontaines et les feux tricolores fonctionnent dans la ville, phénomène rare même à Damas.
Sur la photo: des habitants sur la place près de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: des habitants sur la place près de la citadelle d’Alep.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaL’inscription «pas de mines» sur un immeuble du centre d’Alep.
L’inscription «pas de mines» sur un immeuble du centre d’Alep.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaLa vie nocturne n’a d’ailleurs jamais cessé à Alep. Même pendant la guerre, des restaurants et des boîtes de nuit étaient ouverts dans les quartiers contrôlés par les forces gouvernementales.
Sur la photo: un homme fume la chicha sur la place près de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: un homme fume la chicha sur la place près de la citadelle d’Alep.
La vie nocturne n’a d’ailleurs jamais cessé à Alep. Même pendant la guerre, des restaurants et des boîtes de nuit étaient ouverts dans les quartiers contrôlés par les forces gouvernementales.
Sur la photo: un homme fume la chicha sur la place près de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: un homme fume la chicha sur la place près de la citadelle d’Alep.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaAlep a été pratiquement contrôlée par les terroristes pendant plusieurs années. Les djihadistes ont coupé l’alimentation électrique et les alépins utilisaient des groupes électrogènes diesel.
Sur la photo: la place en face de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: la place en face de la citadelle d’Alep.
Alep a été pratiquement contrôlée par les terroristes pendant plusieurs années. Les djihadistes ont coupé l’alimentation électrique et les alépins utilisaient des groupes électrogènes diesel.
Sur la photo: la place en face de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: la place en face de la citadelle d’Alep.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaUn habitant sur la place près de la citadelle d’Alep.
Un habitant sur la place près de la citadelle d’Alep.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaLe centre historique d’Alep a été presque entièrement détruit, les travaux de reconstruction se déroulent jour et nuit.
Le centre historique d’Alep a été presque entièrement détruit, les travaux de reconstruction se déroulent jour et nuit.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaDes restaurants dans le style arabe avec des lustres orientaux, des plateaux de cuivre et des tapis sur les murs sont ouverts sous la forteresse dans des bâtiments à moitié détruits.
Sur la photo: des habitants dans un café sur la place près de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: des habitants dans un café sur la place près de la citadelle d’Alep.
Des restaurants dans le style arabe avec des lustres orientaux, des plateaux de cuivre et des tapis sur les murs sont ouverts sous la forteresse dans des bâtiments à moitié détruits.
Sur la photo: des habitants dans un café sur la place près de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: des habitants dans un café sur la place près de la citadelle d’Alep.
© Sputnik . Михаил Алаеддин / Accéder à la base multimédiaLe soir, il y a beaucoup de monde sur la place devant la citadelle. Des habitants et des touristes sont assis sur les bancs, les balustrades et les trottoirs.
Le soir, il y a beaucoup de monde sur la place devant la citadelle. Des habitants et des touristes sont assis sur les bancs, les balustrades et les trottoirs.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaTout le monde, vieux comme jeunes, fument la chicha en Syrie.
Tout le monde, vieux comme jeunes, fument la chicha en Syrie.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaUn homme fume la chicha sur la place près du marché d’Alep.
Un homme fume la chicha sur la place près du marché d’Alep.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaAlep est une ville ancienne, sa première mention remonte au début du IIIe siècle avant notre ère. Selon la légende, Abraham a séjourné sur une colline du centre de la ville alors qu’il remontait le cours de l’Euphrate pour se diriger vers l’Égypte.
Sur la photo: des habitants sur la place près de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: des habitants sur la place près de la citadelle d’Alep.
Alep est une ville ancienne, sa première mention remonte au début du IIIe siècle avant notre ère. Selon la légende, Abraham a séjourné sur une colline du centre de la ville alors qu’il remontait le cours de l’Euphrate pour se diriger vers l’Égypte.
Sur la photo: des habitants sur la place près de la citadelle d’Alep.
Sur la photo: des habitants sur la place près de la citadelle d’Alep.
© Sputnik . Mikhail Alaeddin / Accéder à la base multimédiaLe prophète Abraham, Ibrahim, aurait trait en ces lieux une vache appelée «al-shahba», la grise. C’est pourquoi les mendiants, lorsqu’ils font appel au bon cœur des passants alépins, disent parfois: «Halab Abraham», «Abraham a trait sa vache». D’où, selon certains, le nom de la ville d’Alep: «Halab al-Shahba», il a trait la grise.
Le prophète Abraham, Ibrahim, aurait trait en ces lieux une vache appelée «al-shahba», la grise. C’est pourquoi les mendiants, lorsqu’ils font appel au bon cœur des passants alépins, disent parfois: «Halab Abraham», «Abraham a trait sa vache». D’où, selon certains, le nom de la ville d’Alep: «Halab al-Shahba», il a trait la grise.